Le Juriste fiscaliste est un expert en droit fiscal qui conseille ses clients sur les questions liées à la fiscalité. Il peut travailler pour des entreprises, des particuliers ou pour le compte de cabinets d'avocats. Ses missions incluent la recherche de solutions fiscales optimales, la rédaction de consultations fiscales, la préparation de déclarations fiscales, et la représentation de ses clients en cas de litige fiscal.
Secteur d'activité
Défense et conseil juridique
Code ROME - K1903
Niveau d'étude
Master
–
84 %
CDI
Pôle Emploi
31 %
Hommes
Pôle Emploi
Salaire débutant
2 250 €
Brut mensuel
Demandeurs d'emploi
16 550
Pôle Emploi
Volume d'embauche
NA
Emplois par an
Le salaire moyen d'un juriste fiscaliste en France est d'environ 45 000 à 60 000 euros par an.
Le Juriste fiscaliste est un expert en droit fiscal qui conseille ses clients sur les questions liées à la fiscalité. Il peut travailler pour des entreprises, des particuliers ou pour le compte de cabinets d'avocats. Ses missions incluent la recherche de solutions fiscales optimales, la rédaction de consultations fiscales, la préparation de déclarations fiscales, et la représentation de ses clients en cas de litige fiscal.
Pour exceller dans ce domaine, une expertise en droit fiscal est indispensable. Le Juriste fiscaliste doit également posséder des connaissances solides en comptabilité et finance, ce qui lui permet de comprendre et d'analyser les implications fiscales des différentes opérations financières. Une capacité d'analyse et de synthèse est cruciale pour traiter des informations complexes et proposer des solutions adaptées. La rigueur et la précision sont également des qualités essentielles, car une erreur ou une omission peut avoir des conséquences financières importantes pour le client. De plus, de bonnes compétences en communication sont nécessaires pour expliquer des concepts techniques de manière claire et compréhensible. Enfin, un bon sens de la négociation est souvent requis pour défendre les intérêts des clients face à l'administration fiscale.
En termes de formation, plusieurs parcours peuvent mener à cette profession. Un Master en droit fiscal est souvent privilégié, mais d'autres diplômes comme le Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion (DSCG) ou un diplôme d'avocat spécialisé en droit fiscal sont également très appréciés. Un Master en droit des affaires avec une spécialisation en fiscalité peut également constituer une voie d'accès intéressante.
Le métier de Juriste fiscaliste présente de nombreux avantages. La variété des missions et des clients permet de travailler sur des dossiers diversifiés et stimulants. L'expertise en droit fiscal est reconnue et valorisée sur le marché du travail, ce qui peut se traduire par une rémunération généralement attractive. De plus, il existe de nombreuses possibilités d'évolution vers des postes à responsabilité, que ce soit au sein d'une entreprise, d'un cabinet d'avocats ou même en tant qu'indépendant.
Cependant, ce métier comporte également des inconvénients. La charge de travail peut être importante, surtout en période de déclarations fiscales ou lors de contrôles fiscaux. Le stress lié aux enjeux financiers et aux délais est également un facteur à prendre en compte. De plus, le Juriste fiscaliste doit se tenir constamment à jour des évolutions législatives et réglementaires, ce qui nécessite une veille juridique permanente. Enfin, la responsabilité en cas d'erreur ou d'omission est importante, car les conséquences peuvent être lourdes pour le client.