Yann Raimbault, nouvel associé de PKF Arsilon à Bordeaux
Découvrez comment Yann Raimbault renforce PKF Arsilon à Bordeaux pour aider les PME et startups dans leur croissance.

PKF Arsilon poursuit son maillage territorial avec une nomination qui compte. Le cabinet co-opte à Bordeaux Yann Raimbault, professionnel reconnu de l’audit et du conseil, pour densifier une équipe locale déjà structurée. Cette arrivée s’inscrit dans une dynamique de croissance organique et de recrutements ciblés, avec un modèle centré sur les PME, ETI et startups en phase d’accélération.
Nouvelle gouvernance à bordeaux : cooptation de yann raimbault
Le bureau bordelais de PKF Arsilon passe un cap avec l’arrivée d’un nouvel associé. Yann Raimbault rejoint la communauté des 76 associés du cabinet, qui réunit désormais plus de 1 000 collaborateurs et affiche un chiffre d’affaires qui se rapproche des 100 millions d’euros.
À Bordeaux, l’équipe rassemble une cinquantaine de professionnels aux compétences complémentaires. Leur périmètre couvre l’audit financier, l’expertise-comptable, la consolidation, mais aussi le conseil opérationnel et stratégique. Cette diversité de métiers répond aux besoins d’entreprises locales de profils variés, des scale-ups aux groupes familiaux.
En cooptant un profil aguerri, PKF Arsilon renforce une gouvernance ancrée sur le terrain. L’objectif est clair : soutenir les dirigeants face à la densification des normes, à la transition énergétique et à la digitalisation des processus, tout en consolidant la proximité avec l’écosystème bordelais.
PKF Arsilon en bref : repères chiffrés
Quelques indicateurs pour situer le cabinet et son bureau bordelais.
- 76 associés au niveau national.
- Plus de 1 000 collaborateurs, dans un réseau présent dans plusieurs régions.
- Chiffre d’affaires proche de 100 M€ avec une trajectoire de progression continue.
- À Bordeaux : une cinquantaine de collaborateurs mobilisés en audit, conseil et expertise.
- Un positionnement dédié au mid-market : PME, ETI, startups, groupes familiaux.
Parcours et spécialités de yann raimbault : un profil orienté croissance
Diplômé de l’Université de Bordeaux, Yann Raimbault ancre sa trajectoire dans sa région. Il entame sa carrière en 2007 chez KPMG, acteur mondial de l’audit et du conseil, où il évolue dans des environnements exigeants, au contact d’entreprises en développement rapide et de groupes multi-filiales.
Il s’imprègne ensuite de la ligne dédiée aux entrepreneurs, « KPMG pour les entrepreneurs ». La création de PKF Arsilon en 2021, issue de la scission de cette entité, lui permet de prolonger ce fil conducteur : apporter à l’écosystème entrepreneurial français des référentiels, méthodes et outils de niveau international, au service de structures agiles.
Le cabinet souligne que Yann Raimbault a développé une expertise sectorielle dans trois domaines moteurs : les énergies renouvelables, le e-commerce et les nouvelles technologies. Trois univers où l’audit et le conseil n’ont de valeur que s’ils s’alignent sur des enjeux opérationnels : fiabiliser la donnée, sécuriser les transactions et guider des stratégies d’investissement.
Ce profil hybride, technique et orienté business, colle au besoin du marché bordelais. Dans ces filières, la maîtrise des montages de financement, des aides publiques, des problématiques de scalabilité et de la conformité réglementaire fait la différence entre croissance maîtrisée et risques non anticipés.
Une cooptation traduit une reconnaissance interne et un pari stratégique. Elle impacte la gouvernance de trois façons : 1) l’allocation du capital avec un associé responsable d’un périmètre de résultats et de qualité de service, 2) la structuration de l’offre où l’associé porte des expertises sectorielles ou métiers, 3) la traction commerciale par l’accès à un réseau de clients et d’influence locale.
Sur le terrain, cela se traduit par des équipes étoffées, une chaîne de revue renforcée et un pilotage affiné des risques. La cooptation n’est pas qu’un titre : c’est un levier opérationnel de capacité d’exécution et de responsabilisation face aux exigences des clients et des régulateurs.
Pkf arsilon : de la scission de 2021 à une stratégie d’ancrage régional
PKF Arsilon naît en 2021 d’une scission organisée de « KPMG pour les entrepreneurs ». Cette genèse donne le ton : des méthodes éprouvées, mais une gouvernance autonome calibrée pour les PME, ETI et jeunes pousses.
En 2024, le cabinet annonçait environ 96 M€ de chiffre d’affaires pour 930 salariés. La trajectoire s’est poursuivie avec plus de 1 000 collaborateurs et un chiffre d’affaires qui franchit le palier des 100 M€, porté par des investissements dans les régions et par la demande sur des sujets complexes : consolidation, fiscalité de l’innovation, M&A, cybersécurité comptable, qualité des données.
Pour muscler son offre et sa capillarité, PKF Arsilon s’appuie sur des nominations ciblées et sur le recrutement d’experts issus des grands cabinets internationaux. Plusieurs mouvements récents confirment le cap pris par la direction.
Villeneuve-d’ascq : quatre associés pour accélérer
Au mois de juin 2025, PKF Arsilon annonce l’arrivée de quatre nouveaux associés à Villeneuve-d’Ascq, dont Cédric Samson. L’objectif consiste à renforcer l’empreinte dans les Hauts-de-France, une région où l’industrie, la logistique et le retail dessinent des besoins prononcés en audit de processus et en optimisation des organisations.
Cette expansion met en lumière un choix tactique : constituer des pôles régionaux capables d’absorber des projets volumineux sans renoncer à la proximité, tout en enrichissant le socle d’expertises sectorielles au plus près des bassins d’emplois.
Nice : cooptation de tristan marinier
En septembre 2025, la cooptation de Tristan Marinier comme associé à Nice illustre la continuité du plan de croissance. La Côte d’Azur, marquée par un tissu d’entreprises innovantes, de services et de tourisme premium, bénéficie d’une offre locale étoffée en audit et conseil.
Cette nomination renforce la visibilité du cabinet sur un axe Méditerranée actif en transactions, en structuration de groupes et en projets de transformation digitale.
Rennes: un directeur restructuration issu de KPMG
À l’automne 2024, PKF Arsilon nomme Geoffroy de Pierrepont au poste de directeur restructuration à Rennes, après un parcours débuté en 2008 chez KPGM. L’enjeu : accompagner des entreprises faisant face à des besoins de refinancement ou de réorganisation opérationnelle, avec une approche intégrant diagnostic, scénarios de retournement et protection des intérêts des parties prenantes.
Pourquoi le mid-market alimente la croissance des cabinets
Trois signaux expliquent l’appétit des cabinets pour les PME et ETI.
- Empilement normatif : montée en puissance de la CSRD et renforcement des exigences de contrôle interne.
- Transition digitale : industrialisation des processus, facture électronique à horizon 2026-2027 selon la taille et le degré de préparation des entreprises.
- Transformation sectorielle : énergie, industrie et distribution réinventent leurs chaînes de valeur, ce qui nécessite audit des données, scénarios d’investissement et pilotage des risques.
Bordeaux, point d’appui pour les filières renouvelables et numériques
La nomination de Yann Raimbault conforte la stratégie bordelaise du cabinet. La métropole bénéficie d’un écosystème tech et green dynamique, à l’interface entre pôle numérique, industries culturelles, logistique, et filières énergétiques. Dans ce paysage, la demande porte sur la structuration, la levée de fonds et la professionnalisation des fonctions finance.
Sur la verticale énergies renouvelables, l’enjeu clé reste la fiabilisation des business plans dans des modèles soumis aux tarifs, aux PPA et aux subventions. La part de l’électricité d’origine renouvelable en France a dépassé un quart de la production en 2023, traduisant une montée en puissance structurelle du secteur (RTE, bilan électrique 2023).
Côté e-commerce, le marché français a franchi environ 160 milliards d’euros en 2023, soutenu par l’essor des paiements et la diversification des services. La consolidation des données de vente et la gestion de la fraude deviennent centrales pour préserver les marges et la confiance des clients (FEVAD 2024).
Dans les nouvelles technologies, PKF Arsilon accompagne des dossiers qui mêlent R&D, structuration juridique de l’IP, sécurisation des financements et calibrage des incitations publiques. La France mise par ailleurs sur un programme d’investissement de 54 milliards d’euros via France 2030, qui irrigue la chaîne de l’innovation et ses retombées pour le mid-market.
L’audit de groupes actifs dans les ENR appelle une lecture fine des flux et contrats :
- PPA et tarifications : traitement des contrats à long terme et stress-tests sur les hypothèses de prix.
- Subventions et garanties : comptabilisation, revenus différés, tests d’éligibilité et risque de restitution.
- Consolidation : périmètre de contrôle, co-entreprises, approche par composant et dépréciations.
- Financements de projets : covenants, déséquilibres passagers, couverture de taux et impacts sur le résultat.
Une documentation robuste conditionne la crédibilité des prévisions, la relation avec les prêteurs et la fluidité des décisions d’investissement.
Des leviers opérationnels pour l’accompagnement des dirigeants
L’arrivée de Yann Raimbault s’accompagne d’un agenda centré sur la création de valeur mesurable pour les clients. Au-delà de l’audit et de la comptabilité, l’équipe bordelaise met en place des parcours d’accompagnement orientés résultats.
Les thématiques récurrentes portent sur la sécurisation du chiffre d’affaires, la rationalisation des coûts, la qualité des données et l’anticipation réglementaire. À la clé, une réduction des risques opérationnels et une meilleure lisibilité financière pour les dirigeants et les actionnaires.
- Finance et performance : mise en place de tableaux de bord, fiabilisation des clôtures, optimisation BFR.
- Fiscalité de l’innovation : dispositifs CIR et CII, documentation technique, articulation avec les dépenses éligibles.
- Data et contrôles : cartographie des risques, tests de cohérence, automatisation des contrôles clés.
- Organisation et SI : architecture pour la facture électronique, workflows d’approbation, piste d’audit fiable.
- Transactions : due diligence sell-side et buy-side, carve-out post-acquisition, intégration comptable.
- Conformité et RSE : préparation CSRD, collecte d’indicateurs ESG, cohérence entre narration extra-financière et performance réelle.
Réglementations à l’horizon : ce que les directions doivent planifier
Anticiper plutôt que subir, avec un plan de route lisible.
- CSRD : élargissement progressif du périmètre de reporting extra-financier. Besoin de gouvernance des données, de contrôle interne et d’outils de collecte.
- Facture électronique B2B : généralisation par paliers à partir de 2026-2027 selon la taille d’entreprise et la disponibilité des plateformes. Préparer l’architecture SI, les référentiels et la piste d’audit fiable.
- Sanctions et contrôles : montée des exigences probatoires. Justification des estimations comptables et traçabilité des hypothèses.
Gouvernance et qualité : exigences accrues dans les métiers du chiffre
Le renforcement du partenariat à Bordeaux va de pair avec une vigilance accrue sur l’indépendance et la qualité. La cohabitation des activités d’audit, d’expertise et de conseil suppose un cadre déontologique exigeant, des revues croisées et une cartographie claire des risques d’incompatibilité.
Les contraintes de contrôle et d’éthique portent sur la rotation des équipes, la gestion des conflits d’intérêts, et la documentation des travaux. La cooptation d’un nouvel associé, en ce sens, élargit l’effet de levier sur la supervision, l’arbitrage de situations sensibles et la diffusion de bonnes pratiques méthodologiques.
Bordeaux : articulation audit-conseil sous contrôle
À Bordeaux, l’équipe pluridisciplinaire revendique une approche qui sépare les lignes sensibles tout en valorisant les synergies Maîtrise des flux de données, accompagnement à la consolidation, cadrage des projets SI et support transactionnel. Cette organisation vise à préserver la rigueur d’audit tout en offrant un conseil opérationnel au service de la performance.
Sur le marché local, les dirigeants attendent un partenaire capable de concilier réactivité et sécurité. La montée en puissance de la réglementation et des attentes des financeurs impose une chaîne de revue solide et la capacité à capitaliser sur l’expérience multi-sectorielle.
L’automatisation et la facture électronique transforment la production comptable en quelques années. Pour garder la main :
- Construire des référentiels de données stables et partagés avec les métiers.
- Déployer des contrôles embarqués dans les outils plutôt que des corrections a posteriori.
- Documenter les hypothèses clés : méthodologies d’inventaire, provisions, reconnaissance du revenu.
- Aligner finances, achats, IT sur un même calendrier de déploiement.
La robustesse des données conditionne l’audit, mais aussi la confiance des banques, des investisseurs et des partenaires commerciaux.
Cap régional et dynamique nationale : l’effet d’entraînement
La cooptation de Yann Raimbault à Bordeaux s’inscrit dans une séquence plus large de renforcement des équipes en régions. Après Villeneuve-d’Ascq, Nice et Rennes, la feuille de route de PKF Arsilon confirme une approche itinérante : déployer l’expertise au plus près des clients, tout en imposant des standards homogènes sur l’ensemble du territoire.
Ce choix épouse la structure du mid-market en France. Les centres de décision ne se situent pas uniquement à Paris. Ils s’organisent autour de bassins locaux, de clusters sectoriels et de chaînes logistiques. Cela impose des équipes ancrées, capables de saisir les signaux faibles et de répondre vite, sans dilution de qualité.
Avec cette nomination, le bureau de Bordeaux gagne en puissance de feu sur trois fronts : audit et consolidation pour des groupes qui grandissent, accompagnement de la transition énergétique et formalisation des trajectoires ESG alignées avec les nouvelles obligations de reporting. Les dirigeants y trouvent un interlocuteur unique pour naviguer entre réglementation, opérations et structuration financière.
Un cap affirmé pour bordeaux et ses entreprises
En étoffant son partnership, PKF Arsilon envoie un signal lisible au marché bordelais : la priorité est donnée aux filières en croissance et à l’accompagnement opérationnel des dirigeants. La trajectoire nationale, marquée par des nominations et des prises de responsabilités en régions, trouve ici un prolongement cohérent.
Au-delà du symbole, cette cooptation traduit une volonté de créer de la valeur locale en audit, en expertise et en conseil. Bordeaux confirme son statut de hub d’innovation où la qualité des chiffres, l’industrialisation des processus et la lecture des risques deviennent des différenciateurs de compétitivité.
Nommer un associé à Bordeaux, c’est bien plus qu’un mouvement interne : c’est une stratégie d’exécution régionale pour accélérer la professionnalisation financière des entreprises et soutenir la croissance là où elle se crée.