Portée par une nouvelle génération d’entrepreneurs, la startup Kalent fait sensation sur le marché français du recrutement en misant sur l’intelligence artificielle pour moderniser chaque étape de la recherche de talents. Selon l'annonce de Kalent, l’entreprise nantaise a bouclé une levée de fonds de 1 million d’euros, portée notamment par Kima Ventures, afin de soutenir ses ambitions de croissance en France et à l’international.

Réinvention totale du sourcing : le pari audacieux de Kalent

Au cœur de la stratégie de Kalent, on retrouve une conviction : il est nécessaire de transformer radicalement les pratiques de recherche et de sélection de candidats. Alors que la majorité des entreprises, qu’elles soient PME ou grands groupes, recourt à des méthodes relativement classiques (cabinets de recrutement, chasseurs de têtes externes, ou plateformes d’emplois), la jeune pousse souhaite inverser cette dynamique.

L’outil imaginé par la startup exploite un algorithme propriétaire dopé à l’IA pour analyser plus de 25 millions de profils publics. Son objectif ? Identifier, qualifier et contacter, en un minimum de temps, les experts ou managers dont les compétences sont en adéquation avec les besoins de l’entreprise. Au lieu de prendre des semaines à “chasser” manuellement une poignée de candidats, la plateforme promet un ciblage et un engagement quasi immédiats.

Pour parvenir à cette réinvention, Kalent mise sur la fluidité : elle actualise en continu les données pertinentes (contacts, CV générés automatiquement via IA) et guide l’équipe RH dans la démarche de prospection. À la clé, une économie de temps évaluée à près de 50 % sur la phase de sourcing et une réduction de 40 % du délai d’embauche, souvent appelé time-to-hire. Cette vision reste ambitieuse mais répond à un besoin grandissant : dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre qualifiée, accéder rapidement à des profils clés devient plus crucial que jamais.

Les enjeux actuels du recrutement en France

De nombreuses entreprises françaises, notamment dans l’industrie, la tech ou le BTP, peinent à pourvoir leurs postes faute de candidats adéquats. Selon des études du Ministère du Travail, plusieurs dizaines de milliers d’offres demeurent vacantes chaque année. Dans ce paysage, un sourcing plus rapide et plus pertinent permet de sécuriser les embauches, d’anticiper la mobilité du personnel et d’accompagner l’innovation.

Les professionnels du secteur pointent du doigt la complexité grandissante des recrutements : la concurrence croît, certains métiers stratégiques deviennent rares, et la réactivité s’impose comme un critère déterminant. Kalent n’est pas seule à parier sur l’IA. Toutefois, elle se distingue par sa plateforme en mode SaaS qui centralise à la fois l’identification et le contact des talents, laissant aux équipes internes la main sur la relation humaine. Ce parti pris s’oppose au modèle traditionnel qui délègue souvent l’intégralité de la recherche à des cabinets de chasse.

Le time-to-hire correspond au temps qui s’écoule entre la première prise de contact avec un candidat et l’acceptation de l’offre d’embauche. Il est souvent utilisé comme indicateur de performance pour évaluer l’efficacité d’un processus de recrutement.

En France, les recruteurs estiment souvent que la combinaison entre rapidité et qualité est difficile à obtenir. Pour Kalent, l’IA représenterait ce chaînon manquant, permettant aux entreprises de mener de front identification des profils et validation des compétences, sans perdre des jours ou des semaines à naviguer entre diverses bases de données.

À l’origine de Kalent : une équipe aux expertises multiples

L’ascension rapide de Kalent s’explique également par le parcours de ses trois fondateurs, dont les profils s’avèrent hautement complémentaires :

  • Vincent Maillard de la Morandais : Ingénieur de formation, il a auparavant travaillé pour le Ministère des Armées et cofondé la société Harphang. Son expérience dans des environnements exigeants l’a amené à maîtriser la gestion de projets complexes et la manipulation d’importants volumes de données.
  • Cédric Tournay : Il est connu dans l’écosystème numérique pour avoir cofondé Doctissimo et dirigé Dailymotion en tant que CEO. Son sens du business et sa connaissance du monde digital constituent un atout majeur pour donner de la visibilité à Kalent.
  • Edouard Vaudour : Ancien collaborateur de Foodles et de Looti, il cumule plusieurs expériences fructueuses dans l’univers des startups et de la food tech, ainsi que dans la gestion produit.

Cette fusion de compétences a permis à Kalent, fondée en juin 2023 à Nantes, de construire une plateforme technologique sophistiquée, tout en bénéficiant d’une approche commerciale rodée à l’épreuve des marchés digitaux. Dès ses débuts, la jeune pousse s’est fixé pour ambition d’attirer des investisseurs prêts à soutenir une vision de recrutement internalisé, pour mieux répondre aux exigences de grands comptes et d’acteurs en croissance continue.

Kima Ventures est un fonds d’investissement français, particulièrement connu pour son soutien à de nombreuses startups en amorçage et post-amorçage. Fondé par Xavier Niel, ce fonds a déjà financé plus de 800 sociétés à travers le monde, et s’intéresse surtout aux jeunes pousses à fort potentiel de croissance.

Nantes, un vivier de nouvelles technologies

Choisir de s’implanter à Nantes n’est pas anodin. Depuis quelques années, la métropole attire de plus en plus d’innovateurs et d’entrepreneurs dans la tech. Des incubateurs locaux, ainsi que des dispositifs publics, accompagnent les startups dans leur développement, ce qui favorise l’émergence de solutions numériques à forte valeur ajoutée.

Dans le domaine du recrutement, plusieurs entreprises se sont déjà distinguées dans la région. Mais la réussite rapide de Kalent met en avant l’essor d’une nouvelle génération de plateformes qui vont au-delà du simple “matching” de CV et d’offres d’emploi. L’idée consiste à s’appuyer sur la richesse du web et des données disponibles sur les candidats pour prendre de vitesse la concurrence. Les équipes de Kalent affirment d’ailleurs que la mise à jour en temps réel des informations, couplée à des fonctionnalités automatiques de génération de CV par IA, représente un atout majeur face aux concurrents plus traditionnels.

Une offre par abonnement, gage de flexibilité

Alors que beaucoup d’acteurs du headhunting (chasse de têtes) traditionnels facturent un pourcentage du salaire annuel du candidat recruté, Kalent propose un modèle d’abonnement mensuel ou annuel. Cette approche séduit autant les PME que les grands groupes. En acquérant ce type de licence, les entreprises gardent un contrôle total sur le processus de recrutement, tout en bénéficiant d’outils technologiques dernier cri.

Du côté de Kalent, cette méthode de facturation assure des revenus récurrents et une relation continue avec les clients. Plutôt que d’intervenir ponctuellement et de disparaître, la plateforme veut devenir un partenaire au long cours, offrant un service évolutif, qui s’améliore au fur et à mesure que l’IA gagne en précision.

Bon à savoir sur la tarification

La plupart des cabinets de recrutement traditionnels facturent entre 15 % et 20 % du salaire annuel brut du candidat sélectionné. En optant pour un abonnement, les entreprises peuvent réduire de façon significative leurs coûts, tout en évitant les allers-retours administratifs liées aux commissions. Cette évolution vers un modèle SaaS reflète la transformation en profondeur des métiers du recrutement.

Ce positionnement se concrétise aussi par un accompagnement personnalisé : Kalent ne se contente pas de fournir un accès à son IA. Elle organise régulièrement des sessions de formation et de suivi, destinées aux chargés de recrutement. Le but est de leur apprendre à tirer le meilleur parti de la plateforme, afin d’acquérir plus d’autonomie tout au long du processus d’embauche.

Des références solides : Adecco, Robert Walters, LVMH, Vinci…

En l’espace d’un an, Kalent est parvenue à convaincre une centaine de clients. Parmi eux, figurent des noms prestigieux comme Adecco, Robert Walters, LVMH, Vinci ou encore Foncia. La diversité de ces références illustre l’étendue du spectre de la plateforme, qui s’adresse aussi bien aux groupes internationaux qu’aux acteurs régionaux.

En mettant l’accent sur l’efficacité et la réactivité, l’entreprise entend montrer qu’une plateforme IA peut rivaliser avec les chasseurs de têtes spécialisés dans des secteurs de niche. L’idée est d’offrir des données actualisées (e-mails, numéros de téléphone) pour limiter les écueils d’un sourcing mal calibré. À terme, la promesse est de continuer à creuser l’avance sur le marché, en se dotant d’une infrastructure toujours plus performante et capable de gérer des millions de profils de manière quasi automatique.

Derrière ces références se dessine un avenir prometteur, d’autant plus que certaines de ces grandes entreprises envisagent déjà d’utiliser les services de Kalent à plus grande échelle. Des discussions seraient en cours pour élargir l’offre à d’autres départements, au-delà des équipes RH, afin de permettre aux managers de garder un œil direct sur la sélection de nouveaux collaborateurs.

Levée de fonds : 1 million d’euros pour consolider la croissance

Réaliser une telle prouesse en seulement un an d’existence relève déjà d’une performance. Mais Kalent ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. La startup annonce avoir conclu une levée de fonds de 1 million d’euros auprès de Kima Ventures et de plusieurs business angels issus du secteur du recrutement. Cette somme a vocation à accélérer la feuille de route technique, commerciale et internationale.

Concrètement, la jeune pousse entend investir dans le renforcement de son équipe d’ingénieurs. En effet, plus l’IA de Kalent ingurgite des données, plus elle devient précise dans son filtrage et sa sélection de candidats. Les fonds serviront aussi à consolider le service de prospection commerciale, chargé d’évangéliser les entreprises sur les bénéfices de cette plateforme en mode SaaS.

L’objectif affiché est clair : viser 1 million d’euros de chiffre d’affaires en 2025, preuve que l’entreprise cherche à maintenir un rythme de croissance soutenu, sans pour autant se précipiter dans des recrutements massifs ou un développement international désordonné. Cette prudence est sans doute une leçon tirée de l’expérience des fondateurs, qui préfèrent bâtir une base solide pour éviter un effet de mode éphémère.

Un business angel est un investisseur individuel qui apporte des fonds propres à une startup, souvent au stade précoce. Il met également à disposition son réseau de contacts et son expertise pour soutenir la croissance de l’entreprise.

Stratégie internationale : premiers jalons d’une expansion

Dans l’optique de Kalent, l’IA appliquée au recrutement ne se limite pas aux frontières françaises. De nombreuses entreprises multinationales, présentes à la fois en Europe et à l’international, pourraient être intéressées par des outils plus précis et plus rapides pour recruter leurs futurs talents. L’un des points forts de la startup est d’ailleurs la capacité de sa plateforme à agréger des profils issus de pays différents, pour repérer rapidement des experts rares.

La levée de fonds de 1 million d’euros devrait également financer les premiers pas à l’export. Les fondateurs soulignent que l’intégration d’une dimension internationale nécessite des ajustements réglementaires (notamment en matière de protection des données) et une connaissance fine des spécificités culturelles de chaque marché du travail. C’est pourquoi Kalent compte recruter des profils spécialisés dans le développement international, notamment pour cibler en priorité les pays européens où la demande en talents spécialisés est forte.

Parmi les cibles potentielles, on peut citer l’Allemagne, la Belgique ou encore la Suisse. Ces zones, relativement proches géographiquement, disposent d’un écosystème d’entreprises dynamiques et d’un besoin permanent de compétences, en particulier dans le secteur de l’ingénierie, de la finance et des nouvelles technologies.

Kalent et l’IA : un atout réglementaire et légal ?

L’utilisation de l’intelligence artificielle pour repérer et analyser des profils professionnels pourrait soulever des questions en matière de RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données). Cependant, Kalent assure respecter strictement la réglementation française et européenne, notamment en veillant à ce que les candidats puissent exercer leurs droits d’opposition ou de modification des informations les concernant.

Dans les faits, l’IA de Kalent se concentre sur des données déjà accessibles publiquement (par exemple, les réseaux sociaux professionnels) et la startup veille à ce que l’outil ne déduise pas des informations sensibles pouvant conduire à des discriminations. Ce positionnement est essentiel pour éviter tout litige juridique et consolider la confiance des entreprises clientes. En effet, la conformité réglementaire devient un argument de vente incontournable quand on s’adresse à des structures de grande envergure.

Certains experts pointent malgré tout le besoin d’un encadrement plus strict de l’usage de l’IA dans le recrutement. Les projets de loi européens en discussion pourraient imposer de nouvelles obligations de transparence sur la manière dont les algorithmes analysent les candidats. Kalent se déclare prête à anticiper de telles évolutions, en développant des mécanismes d’audit interne de l’IA.

Du point de vue légal, cette proactivité peut constituer un avantage concurrentiel sur d’autres acteurs moins attentifs à la conformité. Dans un monde de plus en plus numérique, prouver qu’on respecte les directives nationales et européennes peut devenir un facteur clé pour conclure des partenariats avec de grands groupes, souvent très exigeants en la matière.

Analyse : vers un nouveau standard du recrutement ?

La fulgurante progression de Kalent illustre un mouvement plus large : la volonté de tout un secteur de dynamiser et “digitaliser” des opérations traditionnellement lourdes. L’IA dans le recrutement n’est plus réservée à quelques grandes multinationales ; elle devient accessible à des structures de toutes tailles, à condition de disposer d’un accompagnement pédagogique.

En France, l’accès à la donnée reste un enjeu crucial. Le fait que Kalent puisse agréger 25 millions de profils publics et en extraire des informations constamment à jour accroît l’attractivité de l’outil. À mesure que l’IA gagnera en maturité, il est probable que les recruteurs attendent non seulement un tri précis des CV, mais aussi des suggestions contextualisées : recommandations de montée en compétence, identification de profils ayant une expérience dans des niches sectorielles, etc.

Un autre point de différenciation viendra de la capacité à intégrer l’outil dans des workflows existants (ATS, CRM, etc.). Plus une plateforme est ouverte à l’intégration, plus elle a de chance de s’imposer comme un standard dans l’écosystème RH. Kalent en est consciente et mise sur une évolution continue de ses API et de ses partenariats techniques.

Chiffres clés du recrutement en France

Le marché de l’emploi français évolue rapidement. Plusieurs rapports estiment que plus de 3 millions de recrutements ont lieu chaque année, toutes catégories confondues. Cependant, jusqu’à 40 % des recrutements s’avèrent complexes ou longs pour les entreprises. D’où l’intérêt de plateformes aidant à identifier rapidement des candidats aux compétences rares.

L’histoire de Kalent : de la genèse à la première levée

L’aventure Kalent débute en juin 2023, lorsque les trois cofondateurs, convaincus que le marché du recrutement est à la veille d’un profond bouleversement, décident de rassembler leurs compétences. L’objectif initial était de créer une plateforme capable de surclasser les approches existantes en matière de recherche de candidats. Il fallait pour cela concilier :

  • Des algorithmes d’IA robustes, basés sur la reconnaissance de mots-clés, la sémantique et le machine learning ;
  • Une interface simple d’utilisation, pour que les recruteurs non techniciens puissent rapidement prendre en main l’outil ;
  • Un modèle économique flexible, permettant de rompre avec la dépendance aux cabinets et chasseurs de têtes.

À l’issue de leurs premières expérimentations, les équipes de Kalent se sont focalisées sur la qualité des données, ce qui est souvent le talon d’Achille des projets IA. En scrutant plusieurs sources publiques (sites d’emploi, réseaux sociaux, forums spécialisés), la startup a construit un solide socle de profils, régulièrement mis à jour pour être certain de disposer d’informations pertinentes. C’est cette rigueur qui a rapidement attiré l’attention des premiers clients et des investisseurs.

La concurrence : un écosystème en pleine ébullition

Kalent n’est pas la seule entreprise à vouloir révolutionner le recrutement. Des plateformes telles que LinkedIn Recruiter ou d’autres solutions d’applicant tracking se positionnent également sur l’IA. Néanmoins, la structure nantaise mise sur un savant mélange d’automatisation et de liberté accordée aux équipes RH :

  1. Automatisation du sourcing, pour balayer un maximum de profils et extraire les plus pertinents;
  2. Liberté de contacter les candidats directement, sans passer par un intermédiaire ou un chasseur externe;
  3. Enrichissement en temps réel des données de contact, pour éviter toute mauvaise surprise de coordonnées obsolètes.

En outre, le choix d’un modèle 100 % internalisé permet aux entreprises d’avoir la main sur leur propre vivier de talents. Elles ne dépendent plus de la base de données fermée d’un cabinet de chasse. Au contraire, elles peuvent développer, avec Kalent, une base vivante qui s’enrichit en continu.

Certains cabinets de recrutement traditionnels pourraient y voir une menace pour leur business model. Cependant, des opportunités de collaboration existent : des cabinets peuvent eux-mêmes s’équiper de la plateforme pour gagner en productivité. Dans un marché où les besoins sont multiples, la clé réside peut-être dans l’hybridation entre approche conseil et IA automatisée.

Un regard sur les défis à venir

Malgré l’enthousiasme suscité par Kalent, la route vers un succès durable comporte plusieurs obstacles. Tout d’abord, la fidélisation des clients reste cruciale : un modèle SaaS repose sur la satisfaction continue et la capacité à convaincre les entreprises de renouveler leur abonnement. Le moindre couac en termes de performance ou de qualité des données pourrait susciter des désabonnements.

Ensuite, la technologie doit garder de l’avance. Dans le domaine de l’IA, la concurrence est féroce. Chaque mois, de nouvelles solutions apparaissent, promettant d’analyser des millions de profils plus vite et mieux. Kalent devra consacrer une part significative de ses ressources à la R&D pour maintenir une plateforme en pointe.

Enfin, la pénétration sur le marché international ne sera pas sans difficultés. Chaque pays possède ses spécificités juridiques, culturelles et linguistiques. S’adapter exige un investissement à la fois technique et humain. La startup devra recruter des talents connaissant parfaitement les règles de protection de la vie privée propres à chaque région, ainsi que les mécanismes d’embauche en vigueur.

Néanmoins, le fait que Kalent bénéficie d’un soutien financier solide et d’une équipe fondatrice chevronnée constitue un avantage certain. Bien souvent, les jeunes pousses échouent faute de capitaux ou d’expertise en matière de développement international. Kalent semble avoir rassemblé ces deux ingrédients clés, ce qui légitime ses ambitions.

De nouvelles perspectives pour le recrutement français

En l’espace de quelques mois, la startup Kalent, basée à Nantes, a affiché son intention de bouleverser le fonctionnement du marché du recrutement en France et, potentiellement, au-delà. Son IA propriétaire, enrichie d’un volume colossal de données, permet de sourcer et de contacter plus rapidement les candidats. Le modèle par abonnement défie les paradigmes traditionnels des cabinets de chasse, tout en offrant une flexibilité financière et opérationnelle.

Sa levée de 1 million d’euros auprès de Kima Ventures et de business angels sectoriels devrait accélérer le développement technique et commercial, tout en ouvrant les portes d’une expansion internationale. Les entreprises de toutes tailles, séduites par la promesse de réduire de moitié le temps de sourcing et d’optimiser le time-to-hire, pourraient bien adopter ce type de service comme nouveau standard.

Kalent laisse entrevoir un futur où la recherche de talents, dopée à l’IA, se transforme en un avantage stratégique pour chaque entreprise, bien au-delà d’un simple process administratif.