À Bordeaux, un nouveau visage prend les commandes d’un spécialiste de l’optimisation énergétique pour les entreprises. Avec la nomination de Hugo Larricq à la direction générale de Mon Courtier Énergie, la société franchit un cap dans sa structuration et affiche des ambitions claires sur un marché secoué par la volatilité et les arbitrages réglementaires. Une transition managériale qui mêle accélération commerciale et discipline opérationnelle.

Gouvernance resserrée chez mon courtier énergie avec l’arrivée de hugo larricq

Mon Courtier Énergie a officialisé le 4 septembre 2025 la nomination de Hugo Larricq au poste de directeur général. La présidence du conseil d’administration reste confiée à Charlie Evrard, fondateur de l’entreprise, qui se concentre désormais sur la stratégie et les grands arbitrages. Cette dissociation des fonctions opérationnelles et de la présidence renforce la lisibilité de la gouvernance et prépare l’entreprise à une phase d’exécution soutenue (Investing.com).

Le groupe, basé à Bordeaux, emploie plus de 200 salariés et s’est imposé comme un acteur référent du courtage pour les entreprises. Sa croissance continue de s’inscrire dans un marché où les décisions d’achat d’énergie sont devenues hautement stratégiques. Dans ce contexte, la nomination d’un profil aguerri à la vente, au management d’équipes et à la conduite de projets digitaux constitue un signal ferme adressé au marché.

La feuille de route confiée à Hugo Larricq est claire : accélérer le plan d’actions jusqu’en 2028, tout en préservant la rentabilité. Pour les clients entreprises, cela signifie une promesse renforcée de lisibilité tarifaire, de sécurisation contractuelle et d’accès à des solutions responsables. Pour l’entreprise, l’enjeu consiste à concilier croissance organique, qualité de service, innovation et équilibrage prudent des risques commerciaux.

Les repères à retenir sur la nomination

  • Date : 4 septembre 2025, prise de fonctions annoncée officiellement.
  • Rôles : Hugo Larricq, directeur général. Charlie Evrard, président du conseil d’administration.
  • Effectifs : plus de 200 collaborateurs.
  • Ambition : croissance rentable à horizon 2028, avec une exécution opérationnelle renforcée.

La séparation des rôles clarifie les responsabilités. Le président pilote la stratégie, la vision long terme et la relation avec le conseil. Le directeur général dirige l’exécution, arbitre les priorités, contrôle l’allocation des ressources et coordonne les équipes.

Dans des phases d’hypercroissance ou d’intensification concurrentielle, cette organisation réduit les boucles de décision, améliore la redevabilité et accélère la mise en marché. Elle facilite aussi l’adaptation aux évolutions réglementaires qui demandent des ajustements rapides des offres et des contrats.

Cap industriel et commercial 2025-2028 : une exécution orientée clients et data

L’entreprise affiche une orientation ferme sur l’exécution. La mission assignée à la nouvelle direction consiste à faire grandir l’activité sans sacrifier les marges, en s’appuyant sur des leviers concrets : digitalisation du parcours client, montée en gamme des offres d’accompagnement, industrialisation des processus et meilleure exploitation des données de consommation.

Le courtage en énergie pour les entreprises exige une chaîne robuste : qualification des besoins, comparaison multi-fournisseurs, alertes sur les fenêtres d’opportunité de marché, gestion de la volatilité, et suivi post-signature. Le passage à l’échelle suppose d’harmoniser ces étapes avec des outils métiers, de la donnée fiable et une gouvernance de la qualité.

Priorités opérationnelles immédiates

Plusieurs axes émergent pour soutenir le rythme de croissance :

  • Amélioration du parcours de souscription pour réduire les délais, sécuriser la conformité et augmenter le taux de transformation.
  • Valorisation de la donnée client pour un conseil plus prédictif et contextualisé, à partir des profils de consommation.
  • Outillage des équipes avec des CRM enrichis, des connecteurs data et des tableaux de suivi de performance commerciale.
  • Offres responsables incluant des options d’électricité d’origine renouvelable et un accompagnement aux économies d’énergie.

La logique est celle d’une discipline d’exécution : des processus maîtrisés, une force de vente outillée, et une promesse client lisible. Ce socle rend possible une croissance rentable en limitant les coûts d’acquisition et en maximisant la rétention.

Le courtage en énergie B2B ne se limite pas à « trouver un prix ». Le courtier :

  • Recueille et structure des données de consommation et de puissance souscrite.
  • Calibre les profils de risque et identifie les fenêtres de marché pertinentes.
  • Organise les appels d’offres auprès de plusieurs fournisseurs et compare « à service égal ».
  • Analyse les clauses contractuelles sensibles : indexations, pénalités, volumes, flexibilité.
  • Assure le suivi après-vente : facturation, litiges, renégociation, renouvellement, veille réglementaire.

Au cœur de cette chaîne, la qualité des données conditionne la pertinence des recommandations et la capacité à sécuriser les engagements de coûts des entreprises.

Tendances de marché et cadre énergétique français : un terrain mouvant

Le marché français reste marqué par la volatilité des prix observée depuis 2022. Les entreprises ont dû renforcer leurs pratiques d’achat, diversifier les horizons contractuels et intégrer des éléments de flexibilité. Dans ce contexte, le courtage prend de l’ampleur, puisqu’il permet d’arbitrer plus finement les paramètres de risque, de service et de coûts.

À l’électricité comme au gaz, la visibilité est encore partielle, du fait des recompositions en cours sur les mécanismes de prix, des trajectoires de production, et de l’intégration progressive d’offres plus vertes. Les relais publics d’accompagnement des entreprises ont également évolué, avec des dispositifs ciblés pour amortir certains chocs tarifaires et aider au passage à de nouveaux contrats.

Les signaux politiques et réglementaires sont scrutés de près par les acteurs du courtage et leurs clients. À la clé, des arbitrages sur les fenêtres de signature, la durée des engagements et le type d’indexation retenue. La capacité à traduire ce contexte mouvant en décisions opérationnelles personnalisées devient un avantage déterminant pour capter et fidéliser une clientèle B2B exigeante.

Trois dynamiques qui redessinent le courtage

  • Professionnalisation des achats : les directions financières et opérations exigent des comparaisons transparentes et traçables, avec des justifications sur la couverture, la durée et les clauses.
  • Demande de solutions bas carbone : montée des offres d’électricité d’origine renouvelable et des services d’efficacité énergétique intégrés aux contrats.
  • Digitalisation : intégration d’outils d’analyse, automatisation des benchmarks, suivi des portefeuilles en temps quasi réel.
  • Dispositifs d’allègement : selon l’activité et la taille de l’entreprise, certains mécanismes publics ont permis d’absorber une partie des hausses de facture. Leur articulation et leur calendrier méritent d’être vérifiés avant de contractualiser.
  • Indexation : comprendre l’index de référence et son impact sur la facture finale est indispensable.

La comparaison brute des prix unitaires ne suffit pas.

  • Durée des contrats : une durée plus longue lisse parfois le coût mais expose à des clauses de volume ou de flexibilité. Une durée plus courte laisse plus d’agilité mais augmente la fréquence de renégociation.
  • Pénalités et options : les conditions de sortie, de révision ou d’ajustement des volumes méritent une lecture méticuleuse.

 

Un courtier outillé peut simuler plusieurs scénarios et éviter aux PME d’accepter des conditions défavorables à long terme.

Des signaux financiers solides malgré un environnement mouvant

Mon Courtier Énergie a enregistré un chiffre d’affaires de 24,7 millions d’euros en 2024, confirmant son ancrage dans le courtage B2B. L’année suivante s’ouvre sur un premier signal positif : 14,6 millions d’euros de chiffre d’affaires au premier semestre 2025, soit une hausse de 24 pour cent sur un an, selon des informations financières publiées mi-juillet 2025 (Bourse Fortuneo).

Ce dynamisme semestriel traduit une traction commerciale, mais ne dispense pas de prudence. En courtage, la saisonnalité et le rythme de signature peuvent être hétérogènes d’un trimestre à l’autre. Les volumes ne sont pas linéaires et les cycles de renouvellement des contrats influencent le profil d’activité au fil de l’année.

La croissance rapide impose de veiller aux fondamentaux : qualité du portage contractuel, maîtrise des risques opérationnels, suivi de la satisfaction clients et solidité des partenariats fournisseurs. Un dispositif robuste de contrôle interne et de pilotage du risque commercial demeure essentiel pour stabiliser la trajectoire.

À mesure que l’entreprise grandit, les investissements dans l’outillage et la donnée améliorent l’efficacité marginale. Ils favorisent aussi la transparence, un attendu fort des directions financières clientes. En ce sens, la nomination de Hugo Larricq s’inscrit dans un moment charnière : consolider l’existant tout en posant les briques pour franchir un nouveau palier sans diluer la rentabilité.

Un semestre ne préjuge pas mécaniquement du réalisé annuel. Trois biais sont fréquents :

  • Effet de base : des performances faibles l’année précédente peuvent gonfler les pourcentages de croissance.
  • Calendrier de signature : des contrats majeurs signés tôt dans l’année amplifient le S1, mais lissés sur l’année, l’élasticité se réduit.
  • Mix d’offres : l’évolution dans la part de services à plus forte marge peut améliorer le résultat, même à chiffre d’affaires quasi stable.

Conclusion pratique : une bonne lecture combine les données S1, le pipeline commercial et le mix d’offres, plutôt que d’extrapoler mécaniquement.

Parcours de hugo larricq : un profil transversal au service de la performance

Hugo Larricq a construit un parcours qui combine marketing, finance appliquée et management commercial. Diplômé d’un Magistère en économie et finances internationales de l’Université de Bordeaux, il détient également un MBA en marketing des vins et spiritueux à l’INSEEC. Une double compétence qui ancre sa maîtrise des dynamiques de marché et de la proposition de valeur.

Il a débuté sa carrière dans l’univers des spiritueux, avec des expériences chez Bernard Magrez, Rémy Cointreau et Mount Gay Rum. Il a ensuite évolué vers des fonctions analytiques et financières, notamment analyste chez Avis Budget, puis gestionnaire financier chez Ricoh Europe. Ces postes lui ont donné le goût des indicateurs, de la modélisation et de l’exigence d’exécution.

Depuis 2017, il était directeur commercial produits et services chez Cdiscount, acteur majeur de l’e-commerce à Bordeaux, et siégeait au comité de direction. Une expérience structurante pour piloter des équipes à grande échelle, affiner l’orchestration commerciale et gérer des cycles d’innovation rapides.

Cdiscount : leviers commerciaux transposables

Le passage par une plateforme e-commerce a des résonances directes avec le courtage en énergie :

  • Culture de la performance : pilotage par la donnée, A/B testing des parcours, optimisation des conversions.
  • Expérience utilisateur : simplification des étapes de souscription, pédagogie tarifaire et transparence des offres.
  • Agilité opérationnelle : mise en marché rapide de nouvelles offres, itérations fréquentes, alignement des équipes produit et ventes.
  • Partenariats structurants : construction d’accords avec des fournisseurs et gestion d’un catalogue en constante évolution.

Transférées au courtage, ces compétences peuvent accélérer l’industrialisation de l’activité, sans renoncer au conseil sur mesure. Elles facilitent également la mise en œuvre d’une gouvernance de la donnée et de dispositifs de conformité, indispensables lorsqu’on manipule des informations sensibles liées aux consommations et aux contrats d’énergie.

Impacts attendus pour les clients professionnels et la chaîne de valeur

Pour les entreprises clientes, l’effet le plus immédiat de cette nomination devrait se mesurer dans la qualité de l’accompagnement. Un pilotage commercial affûté et un outillage renforcé se traduisent par des benchmarks plus rapides, des recommandations plus contextualisées et une lisibilité accrue des conditions contractuelles. Autant d’éléments décisifs pour les directions financières et achats.

La chaîne de valeur du courtage gagne en profondeur quand la donnée est correctement structurée. Un maillage outillé des besoins clients permet de détecter les écarts de puissance souscrite, d’identifier les gisements d’économies hors prix et d’anticiper les renouvellements sur des fenêtres favorables. Avec, à la clé, un meilleur alignement entre promesse commerciale et exécution opérationnelle.

La dimension responsable, désormais indissociable de la performance économique, peut aussi être renforcée. En intégrant des options d’électricité d’origine renouvelable et des services d’efficacité énergétique, le courtier rend l’équation coût-impact plus favorable. Le défi reste de calibrer finement la valeur pour éviter une complexité contre-productive ou une hausse de coûts sans retour lisible pour le client.

  • Indexation et courbe de prix : bien comprendre le mécanisme sous-jacent et les effets possibles sur la facture en cas de tensions de marché.
  • Volumétrie et flexibilité : vérifier les tolérances, les pénalités et les options d’ajustement.
  • Durée et renouvellement : anticiper les échéances pour sécuriser une fenêtre de renégociation favorable.
  • Services associés : clarifier la valeur réelle des options d’accompagnement proposées, leur périmètre et les indicateurs de performance.

Un courtage efficace documente ces points, les valorise de manière transparente, et intègre les préférences de risque du client dans le calibrage du contrat.

Indicateurs de performance à suivre côté clients

  • Taux de conversion des offres en contrats signés, indicateur de pertinence du benchmark et de la pédagogie commerciale.
  • Temps moyen de traitement entre la qualification du besoin et la mise à disposition d’offres comparées.
  • Taux de renouvellement et churn, qui reflètent la qualité du service et la compétitivité continue.
  • Économies documentées hors prix liées au recalibrage de puissance souscrite, à l’écrêtage de pointe ou aux optimisations de profil.

Mon courtier énergie en chiffres et en repères sectoriels

Sur l’exercice 2024, Mon Courtier Énergie a réalisé 24,7 millions d’euros de chiffre d’affaires. Au premier semestre 2025, l’activité s’est établie à 14,6 millions d’euros, en augmentation de 24 pour cent par rapport à la même période de 2024, une évolution saluée par la presse économique et financière (Bourse Fortuneo).

Ce positionnement s’appuie sur une présence territoriale forte et un savoir-faire dans l’accompagnement d’entreprises de tailles variées. Alors que les tensions sur les prix ont poussé de nombreuses sociétés à réévaluer leurs pratiques d’achat, le courtage s’impose comme un relais d’expertise dans une chaîne de décision devenue plus technique et plus réglementée.

À l’horizon 2028, la trajectoire visée suppose de maintenir un rythme soutenu d’intégration technologique, de gagner en précision dans l’analyse des profils de consommation et de consolider le maillage partenarial avec les fournisseurs. Les entreprises clientes, de leur côté, demanderont plus de transparence et d’outils d’aide à la décision, afin d’aligner leurs contrats avec leurs objectifs budgétaires et climatiques.

Dans cet écosystème, l’avantage compétitif vient autant de la qualité des talents que des outils. Il n’existe pas de « prix miracle » durable en énergie, mais des combinaisons d’indexation, de durée, de services et de clauses qui correspondent, entreprise par entreprise, à un optimum de risque et d’usage. Le courtier qui sait documenter ce calibrage, puis le suivre, gagne des parts de marché et fidélise.

Changement de braquet managérial : effets attendus sur l’organisation

La nomination de Hugo Larricq peut se traduire par un rééquilibrage entre croissance commerciale et industrialisation des processus. L’expérience acquise chez un acteur de l’e-commerce l’a habitué à piloter la performance à partir de données complètes et à mettre en place des boucles d’amélioration continue. Dans un métier de courtage, cette approche favorise la reproductibilité des bonnes pratiques et l’alignement qualité-coûts-délais.

La dimension RH devient stratégique. Conserver l’ADN de conseil sur mesure tout en industrialisant les étapes récurrentes exige de soigner la formation, de clarifier les rôles et de mettre en place des parcours outillés. Cela passe par une feuille de route claire pour les équipes commerciales, les fonctions support et les analystes, et par des indicateurs partagés, tant en recrutement qu’en pilotage de la performance.

L’objectif est double : réduire le coût d’acquisition et augmenter la valeur perçue par les clients. En d’autres termes, transformer des gains d’efficacité interne en bénéfices tangibles côté client, sans dégrader la qualité du conseil. Les entreprises attendent moins une surenchère de promesses qu’une exécution fiable, sourcée, et traçable.

Mon courtier énergie : organisation et relais de croissance

Les relais identifiés par les courtiers performants sont connus :

  • Prospection ciblée des segments où l’optimisation contractuelle et opérationnelle génère le plus de valeur.
  • Amélioration du taux de transformation grâce à des benchmarks plus rapides, moins complexes et mieux contextualisés.
  • Renouvellement maîtrisé via des alertes automatiques, des scénarios et des recommandations argumentées.
  • Upsell de services dans l’efficacité énergétique et le suivi post-contrat à la performance.

Il s’agit d’une mécanique vertueuse qui se nourrit d’outils, mais aussi d’une culture du résultat. La présence d’un directeur général rompu aux KPI commerciaux et à la montée en gamme de l’expérience client peut apporter cette discipline d’exécution attendue par le marché.

Risque, conformité et transparence : trois piliers pour créer de la confiance

La confiance des entreprises se gagne par la clarté de l’offre, la rigueur de la conformité et la maîtrise des risques. Dans le courtage, ces piliers se déclinent par des procédures de contrôle documentées, une traçabilité des comparaisons et une protection renforcée des données. L’industrialisation n’est pas antinomique avec le sur-mesure, à condition que la gouvernance soit alignée et que les indicateurs soient partagés avec les clients.

Au plan opérationnel, l’enrichissement des outils internes et la formation continue aident les équipes à bien documenter les hypothèses, les comparaisons et les recommandations. Les clients ont besoin de preuves : quelle hypothèse de profil de consommation, quel index, quels scénarios alternatifs, quelles limites de responsabilité. Plus la proposition est sourcée, plus la décision est éclairée et solide.

Dans cet environnement, la nomination d’un directeur général orienté data et performance commerciale peut accélérer la mise à niveau et rendre la promesse plus crédible. La discipline de reporting devient un argument concurrentiel. Elle permet de passer d’une relation transactionnelle à une relation de pilotage partagé avec les directions financières.

Un jalon pour accélérer jusqu’en 2028

La désignation de Hugo Larricq à la direction générale, tout en maintenant Charlie Evrard à la présidence, installe un duo gouvernance-exécution propice à l’atteinte d’objectifs ambitieux. Les chiffres récents valident le potentiel, avec un premier semestre 2025 en hausse de 24 pour cent, et une base 2024 solide. L’enjeu est désormais d’amplifier sans se disperser, en donnant la priorité aux gains de productivité utiles pour les clients.

Les prochains trimestres permettront de vérifier la capacité de l’entreprise à conjuguer croissance, transparence et sophistication du conseil. Si la dynamique se confirme, Mon Courtier Énergie pourrait renforcer sa place parmi les acteurs de référence du courtage B2B en France, notamment auprès des ETI et PME à la recherche d’accompagnements fiables et lisibles.

Un management clarifié, des priorités opérationnelles nettes et un marché en recomposition offrent à Mon Courtier Énergie une fenêtre rare pour associer vitesse d’exécution et création de valeur durable au bénéfice des entreprises.