Comment Gape Cemes révolutionne le lavage des bateaux ?
Découvrez comment Gape Cemes transforme le lavage de bateaux en utilisant l'eau de mer, préservant ainsi la ressource en eau potable.

À Vouneuil-sous-Biard, une PME discrète change d’échelle. Gape Cemes transforme son savoir-faire d’automaticien en avantage concurrentiel dans le nautisme, avec une technologie qui s’attaque à une ressource devenue critique : l’eau.
L’entreprise a conçu une laveuse de bateaux fonctionnant à l’eau de mer, prête pour l’industrialisation, tout en consolidant son ancrage RSE primé fin 2024. Une équation technique, économique et réglementaire qui intéresse déjà les ports.
Une laveuse de bateaux qui économise l’eau potable
Gape Cemes met sur le marché une laveuse de bateaux qui utilise l’eau de mer en substitution de l’eau potable. L’enjeu est double : assurer un nettoyage efficace tout en préservant la ressource en eau douce, de plus en plus contrainte par les arrêtés sécheresse successifs. Testée depuis le début de 2024, la solution s’adresse aux ports de plaisance qui doivent concilier continuité d’exploitation et sobriété.
Selon l’entreprise, une opération peut permettre d’économiser jusqu’à 300 m³ d’eau potable. Un gisement d’économies qui change la donne pour les exploitants, à l’heure où la pression sur les prélèvements s’intensifie et où les coûts de traitement et d’approvisionnement évoluent à la hausse. Au-delà de la performance environnementale, l’objectif est aussi de fiabiliser l’activité portuaire en période de restriction.
La machine doit dorénavant être produite en séries de dix unités pour accompagner le démarrage commercial à plus grande échelle. Le choix d’une montée en cadence progressive permet de sécuriser l’industrialisation et le service après-vente, tout en gardant la souplesse nécessaire pour adapter les spécifications aux besoins des ports pilotes.
Laveuse à eau de mer : conception et gains attendus
Le cœur technologique repose sur une adaptation fine des circuits, pompes et buses aux caractéristiques de l’eau salée. L’appareil intègre des matériaux compatibles avec la salinité et des traitements anticorrosion dimensionnés pour un usage intensif. Il vise un lavage rapide des coques avec une empreinte hydrique quasi nulle en eau douce, des cycles de maintenance maîtrisés et une consommation électrique modérée.
Pour les gestionnaires, les gains sont multiples :
- Sécurisation des opérations en périodes d’arrêtés préfectoraux restreignant l’usage de l’eau potable.
- Réduction des coûts liés à l’achat d’eau, à la pression sur les réseaux et au traitement des rejets.
- Image environnementale renforcée auprès des usagers et des collectivités.
Une laveuse fonctionnant à l’eau de mer impose une vigilance sur la corrosion galvanique, l’encrassement par sel et la compatibilité des polymères. Les composants en inox doivent être sélectionnés avec des nuances adaptées, les circuits rincés à l’eau douce en fin de cycle si les conditions locales l’imposent, et les joints choisis pour leur tenue aux chlorures.
La conception doit intégrer des filtres pour éviter l’aspiration de débris, des protections anti-cristallisation et des protocoles de purge. Bien anticipés, ces points réduisent les arrêts non planifiés et prolongent la durée de vie des sous-ensembles.
Économies d’eau potable : ordre de grandeur pour un port de taille moyenne
Pour un port réalisant 100 cycles de lavage en haute saison, une économie potentielle « plafond » de 300 m³ par lavage représenterait jusqu’à 30 000 m³ d’eau douce préservés. Cet ordre de grandeur reste indicatif, car l’économie par opération dépend de la taille des bateaux, des protocoles de rinçage et des spécificités locales. L’intérêt économique tient autant à la réduction des volumes consommés qu’à la continuité de service en période de restriction.
Un pari industriel structurant pour une pme de la vienne
Basée à Vouneuil-sous-Biard, Gape Cemes emploie environ 30 collaborateurs et a réalisé 5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2024. Historiquement ancrée dans l’automatisation industrielle, la société a capitalisé sur ses compétences en conception de machines et en assemblage de cobots pour adresser des marchés adjacents, notamment le nautisme.
Cette diversification n’est pas opportuniste. Elle prolonge des savoir-faire existants dans la mécatronique, l’intégration de capteurs, l’optimisation de cycles et la robustesse industrielle. La laveuse à eau de mer est emblématique de ce transfert de technologie du monde de l’usine vers l’environnement portuaire.
Gape cemes : trajectoire et gouvernance opérationnelle
La PME a structuré sa croissance autour de deux piliers :
- Un cœur de métier tourné vers la robotique, les machines spéciales et l’automatisation pour l’aéronautique, la pharmacie, l’automobile et la métallurgie.
- Une branche nautique lancée en 2015, bâtie par incréments, avec des produits connectés pour ports de plaisance et, désormais, une offre d’équipements d’exploitation à forte valeur d’usage.
La reconnaissance RSE décrochée en décembre 2024 au Top des Entreprises consacre une approche pragmatique du développement durable : éco-conception, sobriété, attention portée au collectif de travail. Cette cohérence se retrouve dans les arbitrages techniques de la laveuse et dans le choix d’un démarrage industriel par petites séries.
Un prix RSE régional valorise la constance plus que les effets d’annonce. Les jurys scrutent la réalité des pratiques, l’intégration des enjeux environnementaux au quotidien, la sécurité et la qualité de vie au travail, ainsi que la sincérité du dialogue avec les parties prenantes. Pour une PME industrielle, cette crédibilité facilite les relations avec les ports, les collectivités et les financeurs qui privilégient des partenaires « de confiance » pour des projets de transition.
Plaisance française : chiffres, infrastructures et tendances 2025
Le marché français de la plaisance affiche une dynamique soutenue. Il compte environ 4 millions de pratiquants réguliers et 11 millions d’occasionnels, avec 12 000 immatriculations supplémentaires par an.
Les infrastructures s’étendent sur 473 installations portuaires maritimes et 556 en eaux intérieures, adossées à 8 500 km de voies navigables. La France demeure premier constructeur européen de bateaux de plaisance et deuxième mondial (données publiées en mars 2025 par le ministère chargé de la mer).
Ce volume d’activité s’accompagne d’un impératif d’adaptation aux contraintes environnementales. Les ports de plaisance sont incités à réviser leurs usages de l’eau, à verdir leurs équipements et à intégrer des solutions numériques de pilotage de la ressource. La conjonction d’une fréquentation élevée et de restrictions hydriques plaide pour des innovations de rupture, comme les laveuses à eau de mer.
Indicateurs structurels de la plaisance en 2025
Quelques marqueurs impactant l’économie portuaire :
- Fréquentation en hausse sur les ailes de saison, nécessitant une capacité de service plus flexible.
- Standardisation de l’accueil avec des bornes connectées et des paiements dématérialisés.
- Investissements de transition orientés vers la réduction des consommations d’eau et d’énergie, la gestion des déchets et la décarbonation des usages.
- Pression réglementaire croissante autour des rejets et des consommations, qui favorise les équipements sobres et la mesure fine.
Chiffres clés pour calibrer un plan d’équipement portuaire
Les volumes et infrastructures recensés au niveau national facilités par la puissance industrielle française dans le nautisme posent un cadre clair pour les décideurs portuaires. La combinaison d’une base d’usagers large, d’un réseau d’infrastructures d’envergure et d’une filière de production locale robuste crée des conditions favorables au déploiement d’équipements sobres, dès lors que les retours d’usage s’avèrent convaincants.
Les arrêtés sécheresse peuvent limiter ou interdire l’utilisation d’eau potable pour le lavage. En pratique, cela signifie réorganisation des créneaux, reports de prestations, voire arrêt temporaire de certains services facturés. La bascule vers une solution à l’eau de mer contourne ces interruptions, sous réserve de gérer correctement les rejets et d’être en conformité avec les règles locales d’assainissement et d’environnement.
Pour la relation client, la continuité de service évite des pertes de chiffre d’affaires et protège l’image du port auprès des plaisanciers, qui anticipent davantage de fiabilité dans leurs escales.
Cadre légal et fiscal : ce que doivent anticiper ports et exploitants
Au-delà de la performance technique, les équipements doivent s’inscrire dans le cadre réglementaire. Deux axes dominent : le droit applicable à la navigation en eaux intérieures et la fiscalité des engins maritimes à usage personnel, modernisée ces dernières années.
Régime des permis en eaux intérieures
La pratique de la navigation en eau douce est encadrée. Un permis est requis pour piloter un bateau doté d’un moteur d’une puissance supérieure à 4,5 kW. Pour les unités de grande plaisance, au-delà de 20 mètres, un régime spécifique s’applique avec des prérequis renforcés. L’armement de sécurité doit être adapté à la zone de navigation, et les activités sportives gérées via les fédérations compétentes.
Ces éléments n’ont pas d’impact direct sur l’usage d’une laveuse en port, mais ils rappellent que la conformité est un tout et que la chaîne d’exploitation, du quai au bassin, doit rester alignée avec les textes en vigueur.
Taxe annuelle sur les engins maritimes
Depuis janvier 2022, la taxe annuelle sur les engins maritimes à usage personnel a intégré la fiscalité du secteur, remplaçant les anciens dispositifs DAFN et DAP. La gestion est centralisée par la direction des affaires maritimes et le paiement s’effectue en ligne. Le cadre juridique figure aux articles L. 423-1 et suivants du code des impositions sur les biens et services.
Si cette taxe ne vise pas les équipements d’exploitation comme une laveuse, elle structure l’environnement fiscal des usagers, ce qui pèse indirectement sur l’économie des ports et la capacité à financer des services additionnels. La cohérence des offres tarifaires portuaires avec la pression fiscale ressentie par les plaisanciers est un point d’attention.
Panorama réglementaire utile aux exploitants
Pour cadrer un investissement portuaire, les gestionnaires retiennent généralement trois vérifications :
- Compatibilité de l’équipement avec les règles locales d’assainissement et de rejets.
- Conformité CE, documentation technique et procédures de maintenance.
- Possibilités de financement ou d’aides publiques pour les équipements réduisant l’empreinte hydrique ou énergétique.
Diversification et produits connectés : l’effet gesi
Gape Cemes a abordé le nautisme par les bornes connectées Gesi. Ces équipements facilitent la gestion de l’électricité, de l’eau et des paiements sur les pontons. Diffusées par bouche-à-oreille, elles représentent aujourd’hui environ 15 % du chiffre d’affaires, preuve que la PME a réussi à convertir une intuition en traction commerciale.
Ce socle numérique éclaire la stratégie du fabricant : proposer des solutions concrètes, simples à exploiter, mesurables, qui améliorent l’équilibre économique et la qualité de service des ports. Dans cette logique, la laveuse à eau de mer s’insère naturellement dans un portefeuille orienté vers la sobriété opérationnelle.
Gesi : stratégie et résultats
Le déploiement des bornes a servi de laboratoire à ciel ouvert pour affiner la proposition de valeur :
- Interfaçage avec des outils de gestion portuaire et de facturation.
- Contrôle d’accès et suivi des consommations par point de distribution.
- Maintenance préventive grâce aux données remontées en temps réel.
Cette expérience a une portée plus large. Elle prouve que les ports plébiscitent des solutions prêtes à l’emploi, paramétrables et accompagnées d’un service client réactif. Une configuration qui augure d’une courbe d’adoption favorable pour une laveuse pensée pour réduire l’empreinte hydrique sans complexifier l’exploitation.
La réunion du groupement des armateurs de services publics maritimes de passages d’eau fin 2023 a rappelé l’ambition d’une filière tournée vers la décarbonation. Ce signal s’ajoute aux exigences locales des ports et aux politiques publiques. Les fournisseurs qui intègrent sobriété, mesurabilité et simplicité d’exploitation se positionnent mieux dans les appels à projets et partenariats à long terme.
Modèle économique et accélération commerciale en 2025
La viabilité d’un équipement portuaire se juge au prisme de son coût total de possession, de la continuité de service et des gains démontrés. Gape Cemes propose un passage à l’échelle par séries de dix unités, qui laisse présager des temps d’approvisionnement maîtrisés, un support technique de proximité et une capacité à documenter précisément les bénéfices sur des cas d’usage variés.
Sur le terrain, la valeur viendra de trois vecteurs :
- Réduction mesurable de la consommation d’eau potable en saison haute.
- Limitation des interruptions de service pendant les périodes de restriction, avec une facturation plus régulière.
- Renforcement de l’attractivité auprès des plaisanciers sensibles à la performance environnementale des ports.
Scénarios de retour sur investissement pour un port de 1 000 anneaux
Afin d’illustrer le potentiel, on peut formaliser un scénario pédagogique, nécessairement indicatif et dépendant des paramètres locaux :
- Hypothèse d’utilisation : 150 lavages sur la saison, avec une économie moyenne d’eau potable de 200 m³ par cycle par rapport à un protocole standard, soit un plafond théorique de 30 000 m³ économisés.
- Effet disponibilité : suppression de 80 % des interruptions liées aux restrictions d’eau enregistrées les années précédentes.
- Effet image et service : hausse potentielle des prestations annexes captées pendant la saison.
Au-delà des volumes d’eau, l’effet anti-fragilité sur l’exploitation a souvent plus de valeur que l’économie directe. La capacité à opérer quand d’autres ports réduisent leur offre crée un avantage compétitif concret. La condition reste une qualification environnementale locale bien cadrée pour les rejets et un protocole d’entretien adapté à l’eau salée.
Gape cemes : feuille de route industrielle 2025
Le plan 2025 s’articule autour d’étapes claires :
- Production par lots de dix unités pour fiabiliser la supply chain et capitaliser sur les retours des premiers utilisateurs.
- Documentation d’usage détaillée, incluant la formation des agents portuaires, la maintenance préventive et les protocoles de rejet conformes.
- Écosystème d’accompagnement orienté vers l’aide à la décision des ports, avec calcul d’empreinte hydrique évitée et guides de raccordement.
La trajectoire suppose un ancrage terrain fort. Des références de ports représentatifs, sur différentes façades et en eaux intérieures, permettront de démontrer la robustesse de la solution et d’accélérer les décisions d’équipement à l’échelle nationale.
À retenir pour un comité d’investissement portuaire
Trois points structurants doivent apparaître dans la note d’opportunité :
- Indicateurs de performance : volumes d’eau potable évités, continuité de service, satisfaction usagers.
- Exigences environnementales : qualité des rejets, conformité locale, prévention des nuisances.
- Engagement fournisseur : délais, garanties, disponibilité des pièces, formation des équipes.
Rse embarquée et retombées économiques locales
La politique RSE de Gape Cemes, mise en lumière par un prix régional en décembre 2024, se traduit par des choix industriels concrets. L’entreprise affirme une culture du bon sens qui irrigue autant la conception de ses produits que l’organisation du travail. Pour une PME, ce « réflexe RSE » s’évalue à l’aune des arbitrages quotidiens : sobriété des procédés, durabilité des composants, qualité de service.
Sur le territoire, l’effet est multiplicateur. Les ports sont des nœuds d’activité, générant de l’emploi saisonnier et des revenus annexes pour les entreprises locales.
Un équipement fiable, économe en eau et exploitable sans surcoût humain ouvre une voie pour des chaînes de valeur territoriales plus résilientes. Le positionnement de Gape Cemes, à la croisée de l’industrie et des services portuaires, illustre cette hybridation créatrice.
Gape cemes : stratégie et résultats
En conjuguant machines spéciales et solutions pour la plaisance, la PME a établi un modèle qui amortit les cycles sectoriels. Les cobots et systèmes d’automatisation destinés aux filières aéronautique ou pharmaceutique fournissent un socle de compétences et de revenus, tandis que la branche nautique génère une croissance incrémentale, tirée par l’innovation d’usage.
Le levier RSE fonctionne ici comme un accélérateur d’adoption. Face à la montée des exigences environnementales dans les cahiers des charges publics et privés, une technologie qui prouve ses gains sur l’eau, l’énergie ou les déchets trouve plus rapidement sa place. La récompense RSE a une valeur de signal auprès des acheteurs.
Dans une PME d’ingénierie, la stabilité des équipes et la montée en compétence continue sont des actifs stratégiques. Les politiques de formation, de sécurité et d’organisation du temps de travail ont un effet direct sur la qualité d’intégration des machines livrées. La RSE n’est pas qu’une vitrine : c’est un vecteur de performance, en particulier quand il s’agit de déployer des produits nouveaux sur des sites clients sensibles.
Gouvernance des risques : conformité, usage et environnement
Les directions de ports sont vigilantes sur trois familles de risques lorsque de nouveaux équipements arrivent sur site : conformité réglementaire, contrôle de l’usage et impacts environnementaux. Une solution à l’eau de mer implique de cadrer les conditions de rejet et les mesures préventives contre la corrosion et l’encrassement. La documentation technique, la traçabilité des matériaux et les plans de maintenance sont ici décisifs.
Gape Cemes, fort de ses expériences en industrie, a l’avantage de maîtriser la documentation CE, les protocoles de mise en service et le support. Cette maturité procédurale réduit l’incertitude côté exploitant et accélère l’intégration opérationnelle. Pour les ports, la pédagogie auprès des plaisanciers est un complément utile, afin de rendre visible l’effort d’économie d’eau et d’asseoir l’acceptabilité d’éventuels ajustements de procédure.
Points de contrôle lors de l’installation d’une laveuse à eau de mer
Avant déploiement opérationnel, un exploitant vérifiera notamment :
- les certificats de conformité et notices d’utilisation;
- le schéma de raccordement et les contraintes électriques;
- le protocole de gestion des rejets en lien avec l’assainissement local;
- les plans de maintenance et le stock de pièces critiques;
- le programme de formation pour les agents portuaires.
Un signal devenu tendance pour la filière nautique
La bascule vers des équipements sobres en eau n’est plus un sujet marginal. L’augmentation des pratiques de plaisance, la sophistication des services portuaires et la contrainte hydrique créent un terrain favorable à des solutions opérationnelles comme la laveuse à eau de mer. Gape Cemes, en combinant ingénierie industrielle, expérience d’usage et capitaux RSE, s’invite à la table des équipementiers qui comptent.
La suite se jouera à l’épreuve du réel, au fil des séries de dix unités annoncées, des retours utilisateurs et de la capacité à tenir les engagements de performance. Si les premiers déploiements confirment les économies d’eau et la continuité d’exploitation, l’adoption pourrait s’accélérer sur l’ensemble des façades et en eaux intérieures, dans un cadre réglementaire mieux balisé et une filière qui s’oriente vers la sobriété utile.
En industrialisant une laveuse à l’eau de mer et en capitalisant sur ses solutions connectées, Gape Cemes aligne performance d’usage, sobriété hydrique et crédibilité RSE, une combinaison qui répond à la fois aux contraintes actuelles et aux attentes structurelles de la plaisance française.