Comment Framer devient une licorne avec sa série D ?
Framer, plateforme no-code, réussit une levée de fonds de 85,6 M€ pour s'imposer aux USA et renforcer son IA, un tournant pour l'écosystème tech.

Framer s’offre un changement d’échelle. La startup néerlandaise, connue pour sa plateforme no-code de création de sites web, annonce une nouvelle levée qui l’installe dans le club des licornes européennes et éclaire ses priorités : accélération aux États-Unis, montée en puissance de l’IA et discipline financière. Un signal fort pour l’écosystème tech européen et, en miroir, pour les acteurs français du SaaS.
Série d record pour framer et cap sur la rentabilité durable
Framer a finalisé une levée de 85,6 millions d’euros en série D pour une valorisation portée à 1,7 milliard d’euros (EU-Startups). L’annonce est intervenue à la fin du mois d’août 2025, confirmant un tempo d’exécution élevé et un intérêt soutenu des investisseurs growth pour les plateformes no-code arrivées à maturité.
Ce financement s’ajoute à une précédente opération de 27 millions de dollars en 2023. Au cumul, Framer revendique désormais plus de 140 millions d’euros levés depuis 2014, ce qui la place dans le haut du panier des éditeurs européens orientés product-led growth. Surtout, les dirigeants indiquent que l’entreprise a atteint l’équilibre opérationnel sur l’année écoulée, point de bascule qui a, selon eux, déclenché l’initiative de la ronde par les investisseurs historiques.
Le message envoyé au marché est limpide. Profitable et en forte traction produit, Framer convertit son avance en capital d’expansion pour sécuriser deux chantiers lourds de CAPEX et d’OPEX : la montée en gamme IA de son moteur d’édition et la densification de ses équipes go-to-market américaines. À court terme, l’objectif annoncé consiste à accélérer le recrutement US et à rééquilibrer sa base d’utilisateurs à l’avantage du marché nord-américain.
Une série D intervient généralement quand le produit est validé et que l’entreprise a démontré une traction commerciale. À ce stade, les investisseurs growth exigent souvent des droits renforcés sur certaines décisions stratégiques, des clauses de protection en cas de baisse de valorisation et des engagements de reporting plus fins. Pour les équipes dirigeantes, l’enjeu est de préserver l’agilité de décision tout en respectant une discipline de performance formalisée.
Investisseurs et lecture financière : des partenaires taillés pour la scale-up
La ronde a été menée par Meritech et Atomico, investisseurs historiques de Framer. Elle s’enrichit de deux nouveaux entrants, WiL et HV Capital.
Cette diversité géographique est stratégique. Un fonds américain de late stage, un fonds paneuropéen, un acteur japonais et un investisseur allemand composent un tour cohérent avec l’ambition d’une expansion mondiale maîtrisée.
Meritech, côté États-Unis, est connu pour ses paris sur les plateformes d’infrastructure et les logiciels à très forte rétention. Atomico, fondé par Niklas Zennström, se positionne comme l’un des catalyseurs de la scale-up européenne. Le renfort de WiL ouvre des accès en Asie, quand HV Capital conforte l’ancrage continental, utile pour la conquête de comptes corporate et la construction de partenariats.
Dans leurs prises de parole, les cofondateurs indiquent que l’initiative vient des investisseurs existants, motivés par la rentabilité constatée et la qualité de l’exécution produit. Ce point est notable à ce stade du cycle : après deux années de resserrement du marché, les tours de croissance se concentrent sur des dossiers où l’équation capital-rentabilité est lisible. Framer s’inscrit dans cette logique en combinant capital efficiency et product velocity.
Pourquoi ce tour intéresse les entreprises françaises
Pour les directions marketing et produit en France, l’entrée de nouveaux investisseurs chez Framer signifie :
- Une pérennité financière accrue du fournisseur, critère déterminant en achat SaaS.
- La perspective d’un rythme d’innovation maintenu sur l’IA et la performance web.
- Des capacités de support élargies sur les zones US et EMEA, utiles pour les groupes internationaux implantés en France.
Au plan opérationnel, la répartition capitalistique post-levée n’est pas publique. Elle reflète toutefois un standard du late stage européen : participation renforcée des historiques, tickets ciblés des nouveaux entrants, et gouvernance alignée sur des jalons d’exécution à 12 et 24 mois.
Le signal est double. D’un côté, pas de rupture de cap sur la vision produit. De l’autre, une accélération commerciale assumée sur le marché américain, déjà prioritaire dans les recrutements.
Plateforme et adoption : du prototypage au site web hautes performances
Créée à Amsterdam en 2014 par Koen Bok et Jorn van Dijk, Framer est passée d’un outil de prototypage pour designers à une plateforme complète de création de sites web sans code. La proposition de valeur est simple à formuler et complexe à exécuter : offrir la flexibilité d’un framework front avec la facilité d’un éditeur visuel.
La base installée franchit le cap des 500 000 utilisateurs actifs mensuels. La solution propulse aujourd’hui un très grand nombre de sites marketing, notamment chez des entreprises de la tech qui privilégient la vitesse de déploiement et l’optimisation SEO.
Des marques comme Perplexity, Scale AI, Mixpanel et Miro l’utilisent pour leurs actifs web. La plateforme est régulièrement adoptée par des startups pressées de lancer un site performant sans mobiliser d’équipes d’ingénieurs front-end.
Framer se distingue par une interface d’édition directe sur page, des composants réutilisables et des performances de rendu qui répondent aux exigences Core Web Vitals. L’éditeur cible une promesse tangible pour les directions marketing françaises : raccourcir le cycle de production, réduire le coût total de possession par rapport à des développements sur mesure et conserver la maîtrise du contenu comme du design.
Perplexity : un site orienté conversion et vélocité
Perplexity, moteur de réponse fondé sur l’IA, a privilégié des itérations fréquentes de son site. L’usage d’un éditeur no-code avancé permet d’aligner plus vite le discours, d’expérimenter des variations d’interface et de tester des call-to-action sans cycle développement QA traditionnel. Le bénéfice clé tient à la réactivité marketing.
Mixpanel : cohérence design sur un périmètre large
Pour un éditeur analytique installant plusieurs dizaines de pages et de gabarits, la contrainte majeure reste la consistance visuelle. En recourant à des composants verrouillés et à des styles globaux, l’équipe contenue marketing peut maintenir un design système solide tout en multipliant les déclinaisons de contenus thématiques.
Miro : internationalisation et performance
Sur des pages très visuelles, le couple optimisation d’images et rendu côté client conditionne la vitesse. Les éditeurs no-code centrés performance, dont Framer, apportent une base technique optimisée qui facilite l’internationalisation du contenu sans sacrifier les temps de chargement, critère prioritaire pour le SEO.
Le no-code vise l’édition visuelle sans écriture de code, plutôt pour des sites marketing et des pages de conversion. Le low-code autorise des extensions par scripts ou composants personnalisés. Un CMS headless sépare la gestion de contenu et la couche de présentation, utile pour des architectures complexes. Le choix dépend du niveau d’industrialisation requis, du besoin d’intégration SI et de la rapidité d’exécution attendue.
Ia et automatisation : levier d’efficacité pour les équipes non techniques
Une part significative des fonds alimente la roadmap IA. L’éditeur veut enrichir l’assistance à la conception et à l’optimisation en temps réel. L’édition sur page est déjà complétée par des suggestions de structure et de microcopie, avec une ambition claire : démocratiser le geste web pour les équipes marketing et produit, sans transiger sur la qualité du rendu.
La bataille se joue sur trois fronts. D’abord la génération et refonte d’interfaces, où l’IA peut proposer des variantes testables à faible coût. Ensuite la performance technique, avec des optimisations automatiques affectant les Core Web Vitals et la stabilité du design. Enfin la personnalisation, qui requiert des garde-fous RGPD quand elle exploite des données de navigation.
Le positionnement de Framer se heurte à un champ concurrentiel élargi, des éditeurs no-code spécialisés aux outils de design digitaux. La différenciation se jouera dans la qualité de l’expérience d’édition et la profondeur des intégrations. Les dirigeants parlent d’une plateforme plus rapide et plus flexible, ce qui suppose des investissements en infrastructure d’IA et en sécurité pour absorber l’augmentation des traitements.
Bon à savoir sur l’IA appliquée aux sites marketing
Les apports les plus immédiats pour une équipe française :
- Wireframing assisté pour cadrer plus vite une arborescence et des layouts cohérents.
- Optimisation de performance automatisée des médias et des scripts.
- Variantes de contenu pour A/B testing, avec contrôle éditorial humain à chaque étape.
La prudence reste de mise sur l’IA générative en production. Les processus à privilégier combinent propositions automatiques et validation manuelle, en laissant une trace d’audit. La valeur tient dans l’industrialisation des tâches répétitives, pas dans le remplacement du jugement design et éditorial.
Accélération américaine et retombées européennes, y compris en france
Framer dispose déjà d’équipes à San Francisco et New York. Les États-Unis pèseraient environ un tiers de sa base utilisateur actuelle, avec un objectif de doublement de cette part d’ici 2026. La stratégie consiste à densifier le maillage commercial, soutenir l’écosystème d’agences partenaires et développer des relations enterprise pour adresser des comptes globaux.
Pour l’Europe et la France, ce recentrage américain n’est pas une mauvaise nouvelle. Il s’accompagne d’une consolidation du hub d’Amsterdam et du renforcement des canaux indirects en EMEA. Les entreprises françaises y gagnent une offre stabilisée portée par une structure financière robuste, et la perspective de fonctionnalités IA plus complètes sur un horizon court.
Sur le plan économique, l’opération illustre la capacité de l’écosystème européen à faire émerger des éditeurs SaaS globaux et finance une phase d’hyperexécution. Elle offre également une lecture utile aux dirigeants français : un produit clair, une discipline de coûts et une monétisation focalisée demeurent les meilleurs leviers pour attirer du capital de croissance dans un contexte sélectif.
Avant d’adopter un éditeur no-code, une DSI française vérifie la localisation des données, la conformité RGPD, la réversibilité des contenus, la possibilité de SSO et SCIM pour la gestion des identités et des rôles, ainsi que les engagements SLA. Le tout s’inscrit dans un processus de due diligence proportionné au périmètre du site.
Impact pour les agences web et cabinets de conseil en France
L’essor d’outils no-code avancés rebat les cartes :
- Time-to-market réduit sur les sites marketing complexes.
- Montée en valeur sur la stratégie de contenu, le design system et l’intégration martech.
- Contrats récurrents orientés optimisation et AB testing plutôt que build from scratch.
En parallèle, la dynamique rejoint les ambitions des programmes publics français tournés vers l’hypercroissance, à l’image de Next40 et de French Tech 2030, qui promeuvent des champions technologiques sur des critères de traction et d’innovation. Pour les startups hexagonales, la trajectoire de Framer illustre l’intérêt d’amplifier tôt l’adoption produit pour bâtir une base défendable avant le déploiement international.
Histoire et identité produit : la vigueur d’un pivot bien conduit
Le parcours de Framer éclaire l’importance du timing de pivot dans les logiciels de création. Au départ outil de prototypage conçu par des designers pour des designers, l’entreprise a progressivement déplacé son centre de gravité vers l’édition de sites complets. Ce choix a élargi le marché adressable et placé la plateforme face à de nouvelles exigences d’exécution full-stack et de performance web.
En s’appuyant sur une base d’utilisateurs exigeants et influents dans l’écosystème produit, Framer a cultivé une approche product-led assumée. Les cycles d’itération courts, la qualité d’interface et l’attention portée au rendu visuel ont servi de différenciateurs. Cette ADN explique en partie l’adoption par des équipes qui veulent itérer vite sans sacrifier la qualité du design.
La trajectoire financière reflète cette clarté de positionnement. Une levée intermédiaire en 2023 a permis de consolider l’offre et d’atteindre l’équilibre. La série D, plus conséquente, vise l’expansion commerciale et la montée en gamme IA. La séquence est lisible pour des investisseurs qui privilégient des dossiers capital efficient et la recherche d’un point d’inflexion net avant de déployer des tickets plus lourds.
On observe typiquement : une hausse de rétention post-pivot, la multiplication d’usages dans l’entreprise cliente, une baisse du temps de déploiement et des conversions d’équipes non techniques vers l’outil. Côté financier, le signe le plus fiable reste l’atteinte ou l’approche du break-even sans sacrifier la croissance de revenus.
Cadre économique et juridique : points d’attention pour décideurs en france
Sur la mécanique d’investissement, une série D reste une opération privée. À ce titre, elle n’implique pas la réglementation applicable aux offres au public encadrées par l’AMF. Les entreprises françaises clientes n’ont pas d’exposition directe aux modalités de la ronde. Leur préoccupation est ailleurs : viabilité du fournisseur, qualité contractuelle et conformité.
Au plan contractuel, les directions achats et juridiques en France concentrent leurs vérifications sur :
- la réversibilité des données et la portabilité des contenus,
- la localisation des traitements et l’encadrement des transferts éventuels vers des pays tiers,
- les modalités de SLA, pénalités et support,
- les clauses d’audit et de sécurité applicables à l’éditeur,
- les droits de propriété intellectuelle sur les éléments créés dans l’outil.
Sur la protection des données, l’essor de fonctionnalités IA invite à vérifier le périmètre exact des données exploitées pour l’entraînement, la présence d’opt-out contractuels et la transparence des journaux d’activité. Les organisations qui opèrent dans des secteurs régulés en France doivent pousser l’exercice de due diligence, en particulier quand des pages peuvent collecter des données personnelles.
Checklist éclair pour un déploiement no-code en entreprise
À passer en revue côté France :
- Cartographie des données manipulées par le site et qualification RGPD.
- Interopérabilité avec CRM, CDP, analytics et outils d’AB testing.
- Réversibilité des contenus et export statique si nécessaire.
- Gouvernance des accès et intégrations SSO.
- Garantie de performance et engagement sur les Core Web Vitals.
Côté finance d’entreprise, l’intérêt de cette séquence tient à la cohérence capitalistique avec la stratégie. En phase d’expansion, le capital aligne l’organisation sur des cibles de croissance rentable, plutôt que sur une seule logique de volume. Pour les dirigeants français, l’enseignement est clair : la négociation d’un tour de croissance à la hausse passe par des preuves de rentabilité et des indicateurs d’engagement client robustes.
Enfin, la perspective d’une introduction en bourse à moyen terme, évoquée comme possibilité, n’est ni un objectif court terme ni confirmée. Une IPO à horizon 2027 supposerait l’atteinte d’un seuil de revenus compatible avec un listing attractif, une base client large et une trajectoire financière lisible. Ce scénario reste conditionné à l’exécution des priorités énoncées.
Comparaisons utiles pour le marché français du no-code
Le no-code et le low-code pèsent déjà plusieurs dizaines de milliards à l’échelle mondiale, avec une adoption accélérée dans les organisations qui internalisent la production de sites. En France, la dynamique est portée par des directions marketing en quête d’autonomie et de rapidité, et par des DSI qui privilégient des outils sécurisés et intégrables.
Face à des alternatives internationales bien installées, la valeur ajoutée se joue autour de la performance web, de l’expérience d’édition et de la qualité des intégrations. Sur ces trois axes, Framer, en renforçant ses équipes US et sa couche IA, cherche à consolider une position de spécialiste des sites marketing sophistiqués. Pour les entreprises françaises, l’arbitrage entre outils se fera sur la capacité à industrialiser les workflows de contenu et à porter une stratégie d’expérimentation à grande échelle.
Au-delà de l’outil, la transformation touche le modèle opérationnel des équipes. Le site n’est plus un projet ponctuel, mais un actif vivant qui absorbe des itérations permanentes. Les fournisseurs qui facilitent cette logique, tout en assurant la conformité et la performance, captent la préférence des organisations. La série D de Framer valide cette thèse en lui donnant des moyens pour accentuer l’écart technologique.
Trois indicateurs clés émergent :
- Lead time entre l’idée et la mise en ligne d’une page.
- Taux d’expérimentation mesuré par le nombre d’AB tests mensuels.
- Qualité de service via disponibilité, temps de chargement et scores Core Web Vitals.
Dans ce contexte, l’ambition d’accroître la part d’utilisateurs américains favorise aussi les clients européens. Les fonds levés financent la carte la plus exigeante du marché, ce qui force la plateforme à maintenir un niveau de service et de compatibilité martech élevé partout, y compris en France.
Reste la question de la soutenabilité de la valorisation dans un marché où les multiples se normalisent. La réponse tient dans l’alignement entre croissance de revenus, rétention et profitabilité.
Les éléments communiqués, dont l’équilibre financier atteint, soutiennent un scénario où la valeur repose davantage sur la qualité des fondamentaux que sur l’hypothèse d’une expansion irrationnelle. C’est précisément ce type de profil qui attire des investisseurs comme Meritech et Atomico, déjà exposés à des plateformes leaders.
Ce que les dirigeants en france peuvent en retirer, dès maintenant
Pour les comités de direction et les équipes opérationnelles, les enseignements sont concrets :
- Privilégier des fournisseurs financièrement solides et en trajectoire d’innovation.
- Industrialiser la production web sans alourdir la dette technique.
- Mettre l’expérimentation au cœur du cycle de contenu et mesurer son impact.
- Contractualiser la réversibilité et la sécurité dès la phase d’essai.
La série D de Framer est un cas d’école d’alignement entre moyens et stratégie. Elle indique une voie pragmatique pour les éditeurs européens et confirme aux entreprises françaises que les outils no-code avancés ne sont plus des solutions de contournement, mais des choix structurants pour des organisations qui veulent garder la main sur leur cycle digital.
À ce titre, l’annonce résonne avec la volonté publique de soutenir des champions technologiques paneuropéens, en écho aux programmes nationaux dédiés à l’hypercroissance. Elle valide enfin une conviction partagée par nombre de directions digitales en France : le site est un produit, et il mérite une chaîne d’outillage cohérente, testable et gouvernable.
Jalons à venir pour framer et signaux à surveiller côté entreprises
Au cours des 18 à 24 prochains mois, les yeux seront braqués sur quelques indicateurs de résultat : cadence des livraisons IA, qualité de l’exécution commerciale aux États-Unis, progression de la base d’entreprises mid-market et enterprise, et maintien de la discipline financière. Un premier feedback viendra de la capacité à étendre le réseau d’agences partenaires et d’intégrations martech sans friction.
Pour les organisations françaises, l’enjeu est d’évaluer, filière par filière, ce que la nouvelle génération de plateformes no-code apporte en termes d’agilité et de sécurité. Adopter tôt le bon outillage peut constituer un avantage compétitif dans la bataille de l’attention, à condition de cadrer correctement les aspects juridiques et d’orchestration interne. Le cas Framer fournit une grille de lecture utile, à la fois sur la stratégie produit et sur la structure capitalistique qui l’accompagne (FrenchWeb).
En combinant rentabilité, vision IA et offensive américaine, Framer illustre la maturité d’un no-code de nouvelle génération, dont les entreprises françaises peuvent tirer parti si elles articulent vitesse d’exécution, maîtrise des risques et gouvernance des données.