Bioteos ne cesse de surprendre en faisant parler d’elle dans l’émission « Qui veut être mon associé ? » diffusée sur M6. Pour en savoir davantage, l’entreprise a partagé les coulisses de cette expérience sur son site. Dans cet article, nous revenons en détail sur les enjeux de cette participation, sur les retombées économiques et médiatiques, et sur ce que cette vitrine d’envergure représente pour le développement de Bioteos en France. Préparez-vous à découvrir une aventure entrepreneuriale marquante, qui allie conviction, innovation et opportunités inédites.

Comprendre le contexte de « Qui veut être mon associé ? »

L’émission « Qui veut être mon associé ? » attire chaque saison un public fasciné par l’entrepreneuriat et par les entreprises innovantes en quête de financement. Diffusé en prime time sur M6, ce programme met en lumière des porteurs de projet, qu’ils soient débutants ou déjà établis, face à des investisseurs reconnus.

Le principe est simple : chaque entrepreneur présente son concept en quelques minutes, avec pour objectif de séduire l’un des « business angels » présents autour de la table. Si un accord est trouvé, une partie du capital de la startup est cédée en échange d’un soutien financier et stratégique. En France, le marché du capital-risque et de l’investissement privé a connu une forte progression ces dernières années, notamment grâce à des émissions télévisuelles à succès qui ont contribué à démocratiser l’accès à l’information.

Bioteos, jeune pousse spécialisée dans la purification de l’air et portée par un intérêt prononcé pour l’environnement, a vu dans ce programme une occasion unique de se faire connaître du grand public, d’augmenter sa notoriété auprès des institutions et de trouver des soutiens financiers solides. Entre passion, stress du direct et envie de convaincre, l’équipe s’est lancée dans cette compétition médiatique avec une grande détermination.

Le « pitch » est une présentation concise et percutante utilisée pour convaincre des investisseurs ou des partenaires potentiels. Il comprend généralement la description du produit ou service, la taille du marché, la stratégie de croissance, le modèle économique et le plan financier. Dans le cadre d’une émission télé, le pitch doit en outre capter l’attention en un minimum de temps.

Une opportunité médiatique à fort impact économique

Pour une PME en plein essor, être mise en avant sur une chaîne nationale n’est pas anodin. Cette fenêtre télévisuelle ne se limite pas à la recherche d’investisseurs : elle offre également une chance de bénéficier d’une campagne de communication à grande échelle, en touchant plusieurs millions de téléspectateurs. Or, dans le paysage économique français, la visibilité est souvent un levier de croissance majeur.

En participant à « Qui veut être mon associé ? », Bioteos ne visait pas seulement à lever des fonds. L’entreprise souhaitait aussi renforcer sa crédibilité auprès de clients potentiels (collectivités, entreprises, particuliers) soucieux de la qualité de l’air. Dans un marché de plus en plus concurrentiel, le fait d’apparaître dans une émission grand public spécialisée dans l’entrepreneuriat peut servir de gage de sérieux.

D’un point de vue légal, l’entrée de nouveaux actionnaires peut impliquer des négociations autour d’un pacte d’associés, encadrant les modalités de gouvernance et les droits respectifs. Au-delà de l’aspect purement médiatique, ce type de projet implique donc de solides bases sur la gestion du capital et des statuts juridiques, afin d’éviter des litiges ultérieurs et de garantir une bonne collaboration.

Un coup de projecteur stratégique

Selon une étude Bpifrance, la couverture médiatique peut booster le chiffre d’affaires d’une jeune entreprise de +30% à +50% sur une année. Ce phénomène se vérifie particulièrement dans le cadre d’une intervention télévisuelle : la confiance des consommateurs et des institutions se renforce lorsque l’innovation est validée par des experts reconnus.

La genèse de Bioteos : d’une idée verte à un projet concret

Avant de retracer l’épisode « Qui veut être mon associé ? », il est essentiel de comprendre ce qui se cache derrière Bioteos. L’entreprise s’est formée autour d’un constat alarmant : la qualité de l’air intérieur est souvent sous-estimée, alors même qu’elle peut avoir des conséquences majeures sur la santé et la productivité des individus. Les fondateurs, issus de secteurs complémentaires (biotechnologies, ingénierie et marketing), ont donc élaboré un concept de purificateur d’air alliant technologie de pointe et respect de l’environnement.

Au fil des mois, l’équipe a réalisé plusieurs prototypes, ajustant les fonctionnalités en fonction des retours d’experts, d’organismes de recherche et de premiers clients-testeurs. Les retours positifs ont rapidement permis d’industrialiser le produit, tout en gardant une forte flexibilité de production. Bioteos souhaitait en effet s’adapter aux besoins réels du terrain, tant sur le plan technique que financier, pour proposer une solution accessible.

Le dispositif « Oxylon S » repose sur un système de filtration multi-étages incluant des filtres HEPA, des filtres à charbon actif et une technologie de désinfection par rayonnement UV. Il permet d’éliminer poussières, pollens, bactéries, virus et composés organiques volatils (COV). À terme, ces solutions contribuent à réduire l’absentéisme dans les entreprises, tout en améliorant la sensation de bien-être au quotidien.

L’expérience en plateau : un défi entrepreneurial

Lorsque Bioteos a soumis sa candidature à l’émission, l’équipe ne s’attendait pas forcément à être sélectionnée. La concurrence est rude, et seules quelques entreprises sont retenues pour pitcher devant les caméras. Pourtant, la détermination et la pertinence de leur projet ont convaincu la production. L’aventure a pris forme : préparation minutieuse, répétitions pour le pitch, étude des questions potentielles du jury… Tout était calibré pour maximiser l’impact en un temps record.

Le grand jour arrivé, les projecteurs étaient braqués sur les fondateurs de Bioteos, qui disposaient de moins de deux minutes pour éveiller la curiosité et démontrer la valeur de leur solution. L’émotion était palpable : le stress de l’enregistrement télé, l’envie de bien faire, la volonté de marquer les esprits et surtout la nécessité de convaincre un jury exigeant. La difficulté principale ? Synthétiser des éléments techniques complexes en un discours limpide et accessible, tout en donnant envie aux investisseurs d’aller plus loin.

Bioteos a mis en avant les performances environnementales et la valeur ajoutée pour les entreprises qui optent pour Oxylon S. Il ne s’agissait pas seulement de purifier l’air pour le confort, mais aussi de répondre aux défis sanitaires et écologiques de notre époque. Cet argument, bien préparé, a particulièrement retenu l’attention des business angels sur le plateau, de plus en plus sensibles à la notion d’impact sociétal et environnemental dans leurs investissements.

Les business angels sont des investisseurs individuels, souvent anciens dirigeants ou entrepreneurs, qui soutiennent financièrement et accompagnent les start-up en phase d’amorçage ou de développement. En France, ils interviennent de plus en plus dans la transition écologique en finançant des projets « à impact », comme les solutions de purification d’air, la mobilité verte ou l’agriculture durable.

Les figures incontournables du jury et leur influence

Contrairement à d’autres émissions similaires à l’international, « Qui veut être mon associé ? » rassemble un panel d’investisseurs triés sur le volet, dont les expertises couvrent un large éventail de secteurs. Lors de la saison à laquelle Bioteos a participé, plusieurs noms prestigieux étaient présents :

Eric Larchevêque, cofondateur de Ledger et expert reconnu dans la blockchain et les solutions de sécurité numérique. Il est attentif aux projets disruptifs et à la solidité de leur technologie.

Kelly Massol, fondatrice de « Les Secrets de Loly », spécialiste en cosmétique capillaire naturelle. Son expérience dans le développement de produits écologiques confère une crédibilité particulière aux projets orientés vers la protection de la santé et de l’environnement.

Alice Lhabouz, à la tête de Trecento AM, investisseuse aguerrie dont l’expertise se concentre sur les actifs financiers et la croissance durable. Elle évalue finement les perspectives de rentabilité et le sérieux des business plans.

Anthony Bourbon, le créateur de Feed, réputé pour avoir bousculé le marché alimentaire français avec ses solutions nutritionnelles pratiques. Il est sensible aux projets qui cherchent à simplifier le quotidien des consommateurs tout en préservant la planète.

Julian Jacob, souvent présenté comme un investisseur doué dans la diversification des projets ludiques, notamment dans l’industrie du jouet et de la petite enfance. Il regarde de près le potentiel de mass market et la capacité d’une startup à se renouveler.

Leur expertise complémentaire garantit un passage au crible impitoyable : de la robustesse financière à la pertinence écologique, rien n’échappe à ce jury. Pourtant, leur regard attentif peut se transformer en soutien si le projet réussit à faire écho à leurs valeurs et à démontrer un véritable avantage concurrentiel.

Les offres exclusives QVEMA : un levier de promotion efficace

Pour marquer l’événement, Bioteos a décidé de proposer des offres promotionnelles sur le purificateur d’air Oxylon S. Cette opération, nommée « QVEMA » pour faire référence à l’émission, visait deux objectifs majeurs : inciter de nouveaux clients à franchir le pas rapidement et remercier la communauté de soutenir l’entreprise à ce tournant décisif.

Concrètement, Bioteos a annoncé un rabais limité dans le temps pour la location mensuelle de sa solution. Il s’agit d’un tarif de 39 euros HT par mois au lieu de 49 euros HT, offrant ainsi une économie significative pour les PME souhaitant assainir leurs espaces de travail. Dans un contexte post-crise sanitaire, de nombreuses entreprises ont pris conscience de l’importance de la qualité de l’air pour réduire l’absentéisme et améliorer le confort des salariés. Cette promotion vise donc à rendre la technologie de Bioteos plus abordable et à accélérer son adoption.

En parallèle, Bioteos a mis en place un système d’engagement progressif, permettant aux professionnels de tester Oxylon S sur une période d’essai sans engagement. Cette stratégie commerciale, inspirée par les retours d’expérience recueillis lors de l’émission, démontre la volonté de l’entreprise d’écouter les remarques et de s’adapter en permanence à la demande.

Le saviez-vous ?

Depuis la loi AGEC de 2020 en France, l’amélioration de la qualité de l’air intérieur est devenue un enjeu réglementaire pour certaines structures publiques (écoles, crèches, établissements recevant du public). Ces obligations légales favorisent la recherche de solutions comme Oxylon S, innovantes et écologiquement responsables.

Un moment riche en émotions : l’impact sur l’équipe

Au-delà de la performance entrepreneuriale, l’aspect humain ne doit pas être négligé. Participer à une émission télévisée d’une telle ampleur est souvent un tremplin, mais c’est aussi un vrai défi pour les équipes. Dans le cas de Bioteos, la préparation s’est échelonnée sur plusieurs semaines, rythmées par des répétitions de pitch et des sessions de coaching pour anticiper les questions juridiques et financières du jury.

Le jour du tournage, la tension était palpable, mêlant enthousiasme et appréhension. Les fondateurs de Bioteos ont toutefois su se démarquer en rappelant leur volonté d’agir pour la planète et de proposer une technologie accessible au plus grand nombre. Ils ont également mis en avant leur posture d’« écoute active » vis-à-vis des feedbacks reçus, argument qui a plu à plusieurs membres du jury, sensibles à la notion de collaboration et de flexibilité.

De retour chez eux, les retombées n’ont pas tardé. L’entreprise a reçu des centaines de messages d’encouragement et de demandes de renseignements. Plusieurs structures publiques ont pris contact pour envisager un partenariat, et des investisseurs privés se sont montrés intéressés à rejoindre l’aventure. Cette dynamique de post-émission prouve l’importance cruciale de la médiatisation pour toute start-up souhaitant franchir un cap.

Perspectives légales et financières après l’émission

Sur le plan financier, les propositions d’investissement reçues doivent être scrutées avec la plus grande attention. Un passage télévisé peut attirer aussi bien des investisseurs fiables que des opportunistes. Bioteos, accompagnée de ses conseillers, doit donc évaluer la faisabilité de chaque offre, en tenant compte du pourcentage de capital cédé, des modalités de sortie ou encore du rôle que joueront les nouveaux entrants au sein du conseil d’administration. Ces négociations peuvent durer plusieurs mois et aboutir ou non à un accord final.

Parallèlement, de nombreuses obligations administratives se présentent. Dans le cadre d’une levée de fonds, il convient de respecter la législation française sur les valeurs mobilières et de se conformer aux règles de l’AMF (Autorité des marchés financiers) pour certaines opérations. Il faut également mettre à jour les statuts de la société en cas de changement de gouvernance. Le tout implique un budget non négligeable consacré aux frais juridiques.

Bioteos semble toutefois bien préparée à cette étape, grâce à un dossier solide et une équipe pluridisciplinaire. De plus, l’entreprise a déjà mis en place une communication transparente, gage essentiel de confiance pour les partenaires potentiels. Dans ce contexte, la notoriété gagnée lors de « Qui veut être mon associé ? » est un atout précieux, qui facilite le dialogue et la recherche de synergies avec d’autres acteurs engagés dans la protection de l’environnement.

Comment Bioteos compte poursuivre sa croissance

La participation à l’émission n’est qu’un jalon sur la route du succès. Désormais, l’entreprise prévoit de muscler ses équipes de R&D pour améliorer encore la performance d’Oxylon S et développer de nouvelles gammes de produits adaptés à différents types d’environnements (bureaux, ateliers de production, lieux de soins, etc.). L’ambition de Bioteos est claire : devenir un acteur de référence en matière de purification de l’air dans l’Hexagone, et pourquoi pas, à l’échelle européenne.

En parallèle, l’entreprise mise sur des partenariats avec des distributeurs spécialisés dans le matériel écologique et sanitaire. L’objectif est de toucher un public plus large, incluant les particuliers soucieux de leur bien-être à domicile. À terme, Bioteos envisage aussi de négocier avec des groupes d’assurance ou de mutuelles, afin de promouvoir la prise en charge partielle de ces dispositifs et ainsi démocratiser leur accès.

Focus sur la R&D en France

Selon un rapport du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, la France investit chaque année environ 2,2% de son PIB dans la recherche. Pour des startups comme Bioteos, les aides publiques (crédit d’impôt recherche, subventions régionales, etc.) constituent un accélérateur crucial dans le développement de nouvelles technologies.

Les retombées concrètes de la médiatisation

La médiatisation autour de Bioteos s’est traduite par un afflux de visiteurs sur le site officiel, une augmentation substantielle des demandes de devis et un accroissement notable de la visibilité sur les réseaux sociaux. Pour une entreprise de cette envergure, c’est un changement d’échelle déterminant. Cette popularité soudaine doit cependant être gérée avec soin : adapter l’organisation logistique pour faire face à la hausse de la demande, renforcer le service client, gérer la production afin d’éviter les ruptures de stock… Les défis sont multiples.

Les médias traditionnels (presse écrite, radio) ont également relayé l’information. Ainsi, plusieurs journaux régionaux ont mis en avant la réussite de Bioteos, soulignant le potentiel économique et écologique de son offre de purification de l’air. Dans un climat où la protection de la santé est plus que jamais d’actualité, cette mise en avant a contribué à sensibiliser davantage le grand public au sujet de la qualité de l’air intérieur.

Afin de consolider cette avance et de poursuivre sur une trajectoire ascendante, l’entreprise entend multiplier les occasions de visibilité, que ce soit lors de salons professionnels, de conférences scientifiques ou d’événements institutionnels. La présence sur M6 a ouvert les portes d’un écosystème plus large, dans lequel Bioteos souhaite s’insérer pour créer des alliances stratégiques et renforcer son image de marque.

Une vision à long terme : l’émergence d’un champion français ?

Si Bioteos réussit à concrétiser ses ambitions, il se pourrait bien que cette jeune pousse rejoigne le cercle des champions de la « green tech » française. La dynamique enclenchée par l’émission a déjà permis de lever partiellement le voile sur le fort potentiel de croissance de la société. Néanmoins, l’aventure ne fait que commencer : décrocher des investisseurs majeurs, développer une gamme complète de produits, s’internationaliser… Les défis restent immenses.

La stratégie de Bioteos, basée sur une recherche constante de solutions plus performantes et plus abordables, laisse entrevoir un avenir prometteur. La coopération avec d’autres entreprises spécialisées dans la transition écologique (que ce soit dans l’énergie verte, la mobilité durable ou encore l’agriculture urbaine) pourrait aussi ouvrir de nouveaux débouchés. On voit se dessiner une économie circulaire où chaque acteur contribue à renforcer l’impact positif global.

En France, les pouvoirs publics encouragent de plus en plus les initiatives vertueuses, via des programmes de financement, des allègements fiscaux ou encore la simplification de certaines procédures administratives. Bioteos aura donc tout intérêt à s’inscrire dans ces dispositifs, afin de consolider son modèle et de poursuivre son expansion dans le respect des réglementations environnementales et sanitaires en vigueur.

Des enseignements pour les entrepreneurs en herbe

L’histoire de Bioteos dans « Qui veut être mon associé ? » n’est pas seulement un moment télévisuel. C’est le reflet d’un travail acharné, d’une vision stratégique et d’un engagement sincère pour la préservation de la planète. Pour les entrepreneurs qui s’apprêtent à se lancer dans une aventure similaire, cette expérience offre plusieurs enseignements précieux :

  • Préparer minutieusement son pitch : aller à l’essentiel, valoriser l’innovation et démontrer la viabilité économique.
  • Soigner son image et son discours : la crédibilité passe par la maîtrise de son sujet et la cohérence de ses actions.
  • S’adapter aux défis réglementaires : en France, les normes environnementales sont de plus en plus exigeantes, il faut être en mesure de s’y conformer.
  • Entretenir la dynamique post-émission : profiter de la médiatisation pour développer le réseau, renforcer la confiance et bâtir des partenariats solides.

Avec sa solution de purification de l’air, Bioteos démontre que la technologie peut être mise au service d’un développement durable, pour peu que l’on se donne les moyens d’innover en permanence. Cette démarche s’inscrit pleinement dans un mouvement de fond, où rentabilité et responsabilité sociétale ne sont plus jugées incompatibles.

La suite pour Bioteos

Cette aventure hors du commun sur M6 a déjà transformé Bioteos : la société est passée d’un projet ambitieux à une réalité tangible, soutenue par une audience nationale et potentiellement de nouveaux bailleurs de fonds. La prochaine étape consiste à poursuivre sur cette lancée, en consolidant les acquis et en saisissant les opportunités nées de l’exposition médiatique.

D’un point de vue stratégique, l’entreprise va chercher à optimiser sa production et à accroître sa force de vente, afin de répondre aux nombreux contacts générés par l’émission. Les retours clients lui serviront de matière première pour améliorer encore la qualité et l’efficacité de ses produits. Bioteos pourrait même envisager des partenariats universitaires ou la création d’un département de recherche dédié aux nouvelles techniques de filtration et de dépollution.

En définitive, Bioteos illustre parfaitement la convergence entre innovation, respect de l’environnement et réalisme économique.