Quels enjeux pour la tech à Shaka Biarritz 2025 ?
Découvrez les thématiques clés de Shaka Biarritz 2025, un événement centré sur le web3, l'IA et la cybersécurité.

Face à l’Atlantique, la tech redonne rendez-vous aux décideurs. Du 25 au 27 août 2025, Shaka Biarritz installe sa quatrième édition au Connecteur et confirme son virage stratégique vers le Web3, l’IA et la cybersécurité. Plus qu’un festival, c’est un espace d’affaires, de formation et de régulation, où les entreprises françaises viennent autant pour apprendre que pour signer.
Shaka biarritz 2025 prend de l’ampleur au connecteur
Trois jours, plus de 72 heures de contenus et un site conçu pour la collaboration : Shaka Biarritz s’affirme comme un point d’ancrage de la scène tech estivale française et européenne. L’événement, né sous le nom NFT Biarritz, a étendu son périmètre à l’IA, à la blockchain et à la sécurité numérique, tout en conservant une promesse d’accessibilité et de sérieux.
Le choix du Connecteur à Biarritz n’est pas anodin. Le hub créatif réunit salles modulables, studios et espaces de travail qui favorisent des formats hybrides entre conférences, ateliers et sessions de prototypage. À la différence des grands salons anonymes, la taille maîtrisée du lieu permet des rencontres efficaces entre investisseurs, responsables innovation, dirigeants de PME et jeunes pousses.
Les organisateurs attendent plus de 2 000 participants, avec une circulation fluide entre plénières vision, masterclass thématiques et temps off propices aux échanges. L’identité basque y est assumée, tout comme l’ambition d’ouvrir la porte à des décideurs venus d’autres hubs européens, de San Sebastián à Berlin. Le programme revendique un contenu de fond et un ton sans fioritures.
Repères clés de l’édition 2025
- Dates : 25 au 27 août 2025.
- Lieu : Le Connecteur, Biarritz.
- Focus : Web3, IA, blockchain, cybersécurité.
- Format : conférences, ateliers, masterclass, formations, sessions bien-être et networking.
- Couleur locale : écosystème basque et intervenants européens, dans une ambiance qualifiée de “chill but no bullshit”.
En quatre ans, Shaka a construit un positionnement distinct : un festival de compétences où l’on croise DAF, CTO, CISO, entrepreneurs et collectivités. Les thématiques sont arrimées aux préoccupations concrètes des entreprises françaises : conformité réglementaire, cybersécurité opérationnelle, usages IA dans les processus métiers et pilotage de projets blockchain.
Programme intensif et accès direct aux usages
Le fil rouge 2025 tient en un triptyque : vulgariser sans simplifier, démultiplier les cas d’usage métiers et proposer des formats où l’on manipule des outils. Les sessions s’échelonnent de l’initiation aux ateliers experts, notamment sur la génération de contenu assistée par IA, l’automatisation de flux internes et l’intégration de briques blockchain dans les systèmes d’information existants.
Le parcours “découverte” s’adresse aux profils non techniques. Au menu : IA sans code pour accélérer l’analyse documentaire, créer des prototypes et piloter des workflows récurrents.
L’objectif est d’aider cadres et dirigeants à repartir avec des méthodes, des repères budgétaires et des garde-fous de conformité. Côté pros, les masterclass promettent des plongées sur la sécurité des modèles d’IA, la gouvernance des données et les architectures Web3 compatibles avec les exigences de contrôle interne.
Les modules IA “no-code” efficaces couvrent généralement : choix des outils compatibles avec la politique de sécurité, méthodes d’ingénierie de prompts reproductibles, gabarits de workflows pour l’analyse de contrats, la synthèse d’appels d’offres et la préparation de tableaux de bord, ainsi que des points de vigilance sur la confidentialité, la traçabilité des données et la conformité RGPD des fournisseurs.
Pour garantir la valeur opérationnelle, les ateliers s’appuient sur des cas d’usage sectoriels : industrie, retail, services financiers, tourisme. On y voit notamment comment croiser l’IA pour l’extraction d’informations et un registre blockchain pour l’horodatage, comment sécuriser un environnement de tests IA par des politiques d’accès robustes et comment déployer des PoC sans compromettre la production.
Le connecteur : un terrain d’expérimentation concrète
Le Connecteur offre des espaces calibrés pour la coproduction de solutions : petites salles pour des ateliers experts, zones modulaires pour des démonstrations et studios pour enregistrer podcasts ou modules de formation. La proximité entre scènes, espaces de coworking et terrasses contribue à des cycles courts : écoute, échange, mise en pratique.
La programmation confirme une volonté de passer d’initiatives isolées à des projets structurés : cartographies outillage, méthodes de priorisation et repères de ROI. Les organisateurs privilégient des formats qui laissent de la place aux questions des participants et à l’itération rapide. Le tout avec une exigence affichée de parler clair et d’éviter le jargon.
Cybersécurité : des institutions au terrain basque
Le 26 août concentrera la partie la plus institutionnelle, avec deux tables rondes dédiées. La première fédère des représentants de l’ANSSI, de la Gendarmerie nationale, du Ministère de l’Intérieur et du Campus Cybersécurité pour décrypter les stratégies nationales et régionales. La seconde s’attarde sur les vulnérabilités spécifiques au Pays Basque, territoire transfrontalier et touristique, où la saison estivale intensifie surface d’attaque et risques de fraude.
Pour les entreprises, l’enjeu n’est pas théorique. La montée en puissance d’NIS2, et l’extension du périmètre à de nombreux secteurs, poussent les dirigeants à rehausser la barre : cartographie des actifs, gestion des vulnérabilités, journalisation, continuité d’activité et plan de réponse à incident. Les dirigeants d’ETI et PME en particulier cherchent des balises pragmatiques, compatibles avec leurs moyens et leur exposition.
NIS2 en pratique pour 2025
Obligations clés : gouvernance de la sécurité, gestion des risques fournisseurs, notification d’incident, politiques de chiffrement et authentification forte. Impacts : renforcement des responsabilités au niveau direction, alignement avec assurances cyber, budget récurrent pour l’amélioration continue. Conseil : articuler NIS2 avec RGPD et contrats IT, pour éviter les angles morts entre conformité et technique.
Sur le terrain, la réalité basque mélange activités industrielles, infrastructures critiques à proximité, concentration hôtelière et évènementielle. Cela implique une sécurité en profondeur : durcir les points d’entrée, sécuriser les environnements cloud, sensibiliser les équipes en contact client et relier cybersécurité et lutte anti-fraude. L’approche “défense en couches” reste le standard, mais sa déclinaison opérationnelle change selon le métier.
Anssi et forces de sécurité : de la doctrine à la mise en œuvre
La présence conjointe d’acteurs étatiques et régionaux favorise une lecture du macro au micro : doctrine de sécurité nationale, référentiels techniques, puis cas d’application pour les entreprises locales. L’ANSSI promeut des référentiels exigeants, mais la zone grise reste la priorisation pour les structures moyennes. D’où l’intérêt des échanges avec forces de l’ordre, assureurs cyber et intégrateurs, pour converger vers des plans concrets sur 12 à 18 mois.
Les dirigeants présents attendent des retours d’expérience précis : comment industrialiser la gestion des correctifs, comment formaliser la relation DSI-comex sur la cartographie des risques, comment vérifier l’efficacité des contrôles et comment “faire parler” les journaux d’événements. Les tables rondes visent à transformer les référentiels en check-lists opérationnelles, adaptées au terrain et aux compétences disponibles.
Web3 et ia face au droit européen : mica et ai act en ligne de mire
La dimension régulatoire 2025 est incontournable. Côté Web3, le règlement MiCA est désormais pleinement applicable, remettant de l’ordre dans l’émission et la fourniture de services sur crypto-actifs.
Droits, garanties, reporting et capital réglementaire dessinent un paysage plus lisible pour les acteurs qui veulent opérer depuis la France. La tendance est claire : professionnalisation et gestion des risques.
Côté IA, l’AI Act entre dans sa phase d’application progressive, avec les interdictions de pratiques à haut risque et la montée en gamme des exigences pour les systèmes à usages critiques. Pour les groupes et les ETI, cela signifie des arbitrages sur l’origine des modèles, la documentation, l’évaluation des risques et la surveillance post-déploiement. Les directions juridiques et conformité deviennent partie prenante des déploiements IA, aux côtés des équipes data et sécurité.
MiCA : application étalée entre 2024 et 2025, avec un cadre unifié pour les prestataires et émetteurs de crypto-actifs. AI Act : entrée en vigueur en 2024, obligations progressives en 2025 et 2026 selon les catégories de risque.
NIS2 : transposée au niveau national, obligations pour un large spectre de secteurs dès 2024-2025. Point commun : documentation, gestion des risques, et gouvernance renforcée.
La force de Shaka est de relier ces cadres juridiques aux réalités de mise en œuvre. Un dirigeant ne peut pas piloter trois chantiers étanches. La cohérence s’impose : cartographie des données avec le DPO, évaluation des modèles IA avec la sécurité, et conformité financière pour les briques Web3. Les meilleures pratiques convergent vers une gouvernance intégrée de la donnée, de la sécurité et de la conformité.
Concours de pitch : passerelle vers le ces de las vegas
Le 26 août, le concours de pitch attribuera au lauréat une place au “Web3 Village” du CES de Las Vegas. Au-delà du symbole, c’est un accès marché qui se joue : visibilités croisées, rencontres investisseurs, apprentissages réglementaires et exposition internationale. Pour une startup française, c’est l’occasion de tester son discours produit, sa capacité de conformité et l’adéquation de son modèle d’affaires à l’échelle.
Le positionnement “industrie et usages” de la compétition doit inciter les candidats à articuler valeur business, sécurité by design, conformité et scalabilité. Les jurys, désormais rompus aux démonstrations IA et blockchain, distinguent vite l’effet “wow” de l’impact mesurable sur une chaîne de valeur. Le festival joue ainsi un rôle d’accélérateur qualitatif, en déplaçant l’attention de la technologie vers les résultats clients.
Retombées économiques et réseau : l’atout basque
Shaka assume son statut de festival business-friendly : des formats courts, des lieux modulables, des temps conviviaux et une densité de décideurs propice aux deals. Les effets se lisent sur plusieurs registres : visibilité des startups locales, rapprochement avec les hubs espagnols voisins, commandes pour les prestataires IT et retombées directes pour l’hôtellerie-restauration de Biarritz.
Le dynamisme local compte. Au-delà de l’événement, l’écosystème basque se structure entre associations, incubateurs, collectivités et entreprises traditionnelles en phase de transformation. Les trois jours servent de catalyseur et font remonter tendances et besoins. Pour les directions achats et innovation, cela facilite la veille utile, l’identification de preuves de valeur et la sécurisation de premiers pilotes.
Pourquoi un festival tech sur la côte facilite les deals
Temps étiré, pression réduite : les rendez-vous se poursuivent hors salles, en mobilité. Mélange de profils : dirigeants, techs, investisseurs, collectivités. Proximité Espagne : accès rapide à des écosystèmes voisins. Choix du format : pitch courts, ateliers concrets, espaces fermés pour négocier. Résultat : des cycles décisionnels plus courts que dans un salon classique.
Le volet employabilité est aussi au rendez-vous : formations courtes en IA et sécurité, offres de stages et rencontres entre écoles, entreprises et acteurs publics. Ce pont formation-emploi nourrit la disponibilité de compétences locales et crée une dynamique positive pour les entreprises qui envisagent des implantations ou des extensions d’activité au Pays Basque.
Expérience et bien-être : des formats qui stimulent le réseau
La qualité d’une conversation dépend souvent du contexte. Shaka aménage des temps off pour prolonger les échanges : sessions de yoga et de running, cours de surf et DJ sets en fin de journée. L’équilibre entre intensité des contenus et respiration collective participe à la signature de l’événement et à la fluidité des rencontres.
Ces respirations n’ont rien d’anecdotique. En sortant des salles, les participants passent en mode discussion et réduisent les barrières hiérarchiques. Les retours des éditions précédentes décrivent des connexions inattendues entre métiers, des synergies transverses et des pistes business concrètes nées… un pied dans l’eau. Dans l’univers des salons, c’est un avantage concurrentiel qui compte.
Éviter la réunionite, privilégier les binômes courte durée, valider une hypothèse clé plutôt que réécrire un cahier des charges et fixer un jalon post-événement avec un livrable précis. Les temps informels servent mieux quand on arrive avec une question ferme et une plage de suivi planifiée.
Sur le plan organisationnel, cela exige une logistique fine : repérage, mobilité douce entre lieux, et intégration des activités bien-être dans le planning. Le résultat, quand c’est bien exécuté, se mesure par la qualité des interactions et la capacité des participants à revenir chez eux avec un plan d’action, plutôt qu’une pile de cartes de visite.
De nft biarritz à shaka : l’évolution d’un positionnement
L’histoire de Shaka illustre le mouvement plus large du secteur : du battage autour des NFTs à l’intégration d’usages plus solides du Web3 et des briques d’IA dans les processus métiers. La bascule est assumée : moins de spéculation, davantage de valeur d’usage, de sécurité et de conformité. L’événement joue désormais la carte d’un plateau pluridisciplinaire structuré autour de problématiques d’entreprise.
Cette inflexion se traduit par des formats renouvelés, un calibrage plus fin des sessions et l’ouverture à des publics variés : directions générales, financières, juridiques et IT. Les organisateurs insistent sur des contenus ancrés dans l’actualité et sur des collaborations qui dépassent largement les trois jours de rendez-vous. Les retombées attendues ne se limitent plus à la médiatisation, mais à la consolidation de projets et de compétences.
Repositionnement stratégique assumé
Passer de NFT Biarritz à Shaka n’est pas qu’un changement de nom. C’est l’expression d’une maturité : aligner la programmation sur les cycles d’investissement réels des entreprises, donner plus de place aux référentiels de sécurité, aux contraintes réglementaires et à l’intégration dans les SI. À la clé, une proposition plus robuste pour un public professionnel en quête d’impact mesurable.
La communauté se prolonge en dehors de la période estivale via des formats éditoriaux, dont un podcast qui déplie les débats et pousse plus loin les usages. L’ambition : faire du festival un point de cristallisation, puis poursuivre les échanges et l’acculturation tout au long de l’année.
Ce qu’il faut suivre côté gouvernance, finance et conformité
Les dirigeants qui se rendent à Biarritz en août vont chercher des repères de gouvernance capables d’aligner innovation et contrôle interne. Cela passe par des comités de pilotage qui réunissent les directions métier, la DSI, la sécurité, le juridique et la finance. L’intégration budgétaire est l’autre nerf de la guerre : sortir d’une logique de gadgets et inscrire IA, sécurité et Web3 dans des plans d’investissement triennaux, avec objectifs et indicateurs clairs.
La dimension financière prend de l’ampleur avec MiCA, l’encadrement de la tokenisation et la pression accrue des assureurs sur les contrôles de sécurité. Les DAF et risk managers y voient un cadre pour négocier, prioriser et protéger la marge. Au-delà des effets d’annonce, les entreprises gagnent à formaliser leurs business cases IA et blockchain avec des métriques observables et des jalons de conformité.
Adoption : nombre d’utilisateurs actifs mensuels, tâches automatisées, taux d’usage par équipe. Qualité : précision, taux d’erreur, revues humaines. Sécurité : incidents, correctifs, journalisation. Conformité : documentation, évaluation des risques, audits internes. Économie : temps économisé, coûts évités, gains de marge attribuables.
Pour les investisseurs, Shaka est un baromètre de la maturité marché. Les dossiers solides montrent une trajectoire de conformité, une gouvernance claire des données et une traduction des promesses technologiques en gains métiers.
Les plus fragiles, eux, peinent à franchir l’étape de l’industrialisation et de la sécurité applicative. À Biarritz, la confrontation aux utilisateurs finaux et aux contraintes réglementaires sert de révélateur.
Ancrage local, rayonnement européen : un modèle d’équilibre
Un festival tech prospère quand il sait tenir ensemble deux dynamiques. D’un côté, un ancrage territorial fort, mobilisant entrepreneurs, associations et institutions du Pays Basque.
De l’autre, une capacité d’attraction internationale, qui apporte des regards nouveaux et des opportunités de marché. Shaka joue cette partition en valorisant les spécificités locales tout en branchant l’écosystème sur des circuits européens.
Ce double ancrage renforce la résilience de l’événement. Sur la côte basque, les entreprises développent des solutions tournées vers l’industrie, la mobilité, le sport et le tourisme. En miroir, les intervenants européens apportent des retours sur la régulation, des méthodes d’industrialisation et des bonnes pratiques d’architecture. Le point de croisement génère des collaborations pragmatiques.
Partenariats public-privé et durée utile des projets
Le triptyque collectivités, entreprises et académiques s’impose progressivement comme la bonne maille pour enclencher des projets tangibles. La présence d’acteurs publics en cybersécurité, le soutien des offices de tourisme et l’implication d’accélérateurs permettent de passer de l’idée à la réalisation. À court terme, c’est un gisement d’emplois qualifiés. À moyen terme, un facteur de compétitivité pour le territoire.
Côté entreprises, la clé reste la pérennité : un pilote doit s’inscrire dans une feuille de route de 6 à 18 mois, avec des étapes de validation et des conditions de passage en production réalistes. Dans cet esprit, les rencontres à Shaka permettent d’attacher un sponsor métier, un partenaire technique et un calendrier d’exécution crédible.
Ce qui fera la différence pour les participants en août
La densité du programme et la qualité des intervenants ne suffisent pas. Les participants qui tireront le maximum de Shaka arriveront avec des objectifs précis et un agenda de rendez-vous déjà préparé. Pour un dirigeant, cela peut signifier identifier trois ateliers clés, sécuriser des slots avec deux partenaires potentiels et viser une session cybersécurité pour solidifier un plan d’action NIS2.
Pour une startup, la stratégie consiste à écouter les besoins des métiers, valider l’appétence des acheteurs et cadrer les exigences de conformité dès la première conversation. Les rencontres avec des CISO, DPO et DAF présents sur place aident à ajuster la proposition et à préparer le passage à l’échelle. Le concours de pitch joue alors de caisse de résonance et de passerelle vers l’international.
Checklist express avant d’embarquer pour Biarritz
Objectifs : 3 priorités claires. Planning : sessions cibles et rendez-vous bloqués. Données : éléments de ROI et cas d’usage prêts. Conformité : réponses type sur sécurité, RGPD et cadre MiCA/AI Act. Suivi : créneau de débrief interne dès le retour, avec plan d’action et responsables.
À l’échelle de l’événement, l’enjeu est aussi de mesurer. Les organisateurs partagent une culture du feedback, utile pour itérer sur la qualité des contenus, la granularité des ateliers et la fluidité des circuits de rencontre. C’est un signe de maturité et un facteur de fidélisation pour un public exigeant.
Un rendez-vous qui s’impose par la qualité de son exécution
Shaka Biarritz a gagné son statut de festival à ne pas manquer par des choix clairs : exigence éditoriale, formats où l’on met les mains dedans et articulation transparente avec les enjeux de régulation. Les entreprises y trouvent une manière rare de confronter leurs ambitions à la réalité des risques et des contraintes, sans sacrifier l’élan d’innovation.
Les dates, la localisation et l’orientation du programme confirment une trajectoire ascendante, et le positionnement de référence en France sur Web3, IA et cybersécurité est désormais établi (Cryptoast). La tonalité, elle, reste fidèle à l’esprit maison, appréciée pour son sérieux et sa convivialité assumée, bien décrite par la formule “chill but no bullshit” qui circule parmi les habitués (PresseLib).
Pour tous, le cap est clair : transformer l’essai en projets, consolider les compétences et accélérer les coopérations utiles. La tech utile est celle qui livre des résultats, tient ses promesses réglementaires et renforce la compétitivité des entreprises françaises. En cela, Biarritz s’annonce comme un moment charnière de la fin d’été 2025.
Au croisement de l’innovation, de la régulation et de l’économie réelle, Shaka Biarritz confirme qu’un festival peut devenir un levier stratégique quand il priorise l’usage, la sécurité et la gouvernance.