Cap sur La Sucrière à Lyon pour une journée où les idées passent en mode action. Le 25 septembre 2025, GO Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes revient avec une ambition claire : accélérer des projets concrets, dans un contexte où l’initiative privée fait la différence. Entre rendez-vous d’affaires, contenus experts et retours d’expérience, l’édition 2025 revendique un format utile, court sur les effets d’annonce et long sur la valeur apportée.

Cap sur la sucrière : l’événement qui revendique la liberté d’entreprendre

La nouvelle édition s’installe à nouveau à La Sucrière, au cœur du quartier de la Confluence. Les organisateurs assument un parti pris : mettre la liberté d’action au centre. L’objectif est explicite, donner aux créateurs et dirigeants les ressources pour trancher vite et bien, qu’il s’agisse de stratégie, de financement ou de structuration juridique.

Depuis plus de vingt ans, le rendez-vous a accompagné des milliers de projets à l’échelle nationale. L’édition lyonnaise est devenue un passage obligé pour tester son concept, capter des retours d’experts et enrichir son réseau en une seule journée. Elle se place comme un hub opérationnel pour les porteurs de projets, dirigeants de TPE-PME, investisseurs de proximité et acteurs de l’accompagnement.

La sucrière : un lieu propice au networking

Avec des espaces distincts pour les conférences, les rencontres partenaires et les sessions thématiques, le site favorise la circulation rapide entre rendez-vous. Le format concentré de la journée limite les temps morts et maximise les interactions utiles. La configuration favorise aussi les rencontres fortuites, qui restent un puissant déclencheur d’opportunités sur des territoires dynamiques comme Auvergne-Rhône-Alpes.

Chiffres clés de l’édition 2025 à Lyon

Date : 25 septembre 2025, La Sucrière, Lyon.

Programme annoncé : plus de 120 conférences, 300 intervenants.

Écosystème mobilisé : environ 110 partenaires pour informer et orienter.

Fréquentation attendue : près de 10 000 visiteurs selon les prévisions publiées début été 2025.

Cette édition met en avant la capacité des entrepreneurs à arbitrer vite : choisir un statut, sécuriser ses premiers contrats, enclencher un financement, recruter sur un profil clé. L’événement veut apparier ce besoin de décisions rapides avec des contenus applicables, des diagnostics instantanés et des mises en relation ciblées.

Un dispositif ambitieux : 120 conférences et 300 voix pour éclairer les choix

Le programme 2025 monte en puissance. La promesse : plus de 120 conférences, animées par 300 intervenants, avec des formats courts et orientés résultat. Les thématiques couvrent l’essentiel du cycle de vie d’un projet : création, reprise, financement, développement, transformation, transmission.

Sur le terrain, environ 110 partenaires seront présents pour répondre aux questions clés. L’édition se veut à la fois vitrine d’inspiration et centre d’instruction express, avec l’idée d’aider à franchir un palier en 48 heures préparatoires et une journée sur site.

Des tendances de fond scrutées : innovation durable et numérique

Deux axes retiennent l’attention. D’abord, l’innovation durable qui structure désormais les offres et les leviers de financement, comme condition de compétitivité plus que d’image. Ensuite, la transformation numérique qui concerne autant la vente que les opérations, de l’automatisation administrative au marketing piloté par la donnée.

Ces tendances ne se résument pas à des slogans. Elles décrivent des arbitrages budgétaires concrets : quels investissements prioriser, quelle temporalité adopter, quels indicateurs de performance suivre. Les conférences et échanges s’attachent à relier idées et ROI.

France travail : appui à la création et à la reprise

Le rôle d’accompagnement est réaffirmé. L’institution indique être mobilisée sur la construction du projet, l’accès aux dispositifs et la mise en relation avec les bons interlocuteurs. Le salon concentre ces contacts en un lieu unique, ce qui réduit le temps d’itération pour structurer un dossier.

Pourquoi ce format attire les dirigeants et porteurs de projets

  • Gain de temps avec des réponses synthétiques et des interlocuteurs qualifiés.
  • Actualisation réglementaire et bonnes pratiques avec des experts de terrain.
  • Ouverture de réseau auprès de financeurs, assureurs, experts-comptables, avocats et conseils sectoriels.
  • Retour d’expérience d’entreprises passées par les mêmes étapes, utiles pour éviter les impasses.

Créations d’entreprises 2024 : impulsion nationale et dynamique auvergne-rhône-alpes

L’année 2024 a marqué un jalon pour l’entrepreneuriat en France. Le pays a enregistré plus d’1,1 million de nouvelles entités, en progression par rapport à 2023, avec une hausse évaluée à 5,7 % (INSEE). Ce volume conforte une tendance installée depuis plusieurs années, où l’initiative individuelle et les projets de petites structures pèsent lourd dans le renouvellement économique.

Au niveau régional, Auvergne-Rhône-Alpes se distingue avec environ 130 000 créations, pour une croissance de 7,6 %. Cette traction s’explique par la profondeur du tissu industriel, la densité d’écoles d’ingénieurs et de commerce, et l’existence d’un écosystème d’accompagnement mature. Le salon lyonnais capte cette énergie et lui offre un accélérateur pour passer de l’intention à l’exécution.

Les ressorts derrière la hausse

Plusieurs leviers contribuent à ce niveau d’immatriculations. La recherche d’autonomie professionnelle et de sens alimente les projets de reconversion. La maturité des outils numériques abaisse les coûts d’entrée et accroît la vitesse d’itération. Les chaînes d’approvisionnement plus fluides qu’en 2021-2022 facilitent le lancement d’activités commerciales et artisanales.

Enfin, la disponibilité d’accompagnements structurés, publics et privés, sécurise les premières étapes. L’effet d’entraînement de réseaux locaux et sectoriels est notable, en particulier dans la tech, le service aux entreprises et la transition écologique.

Format micro-entreprise et sociétés : enjeux financiers

La dynamique de création recouvre deux réalités. D’un côté, les micro-entrepreneurs, qui testent vite des activités et s’ajustent au marché. De l’autre, les sociétés qui s’installent avec des besoins plus élevés en capital et en ressources. Les enjeux financiers sont distincts : gestion de trésorerie agile pour les premiers, calibrage du financement et gouvernance pour les secondes.

Le salon, par son offre d’expertise, permet d’arbitrer ces choix organisationnels. Choisir le bon format dès le départ, ou le faire évoluer au bon moment, a un impact direct sur les marges, la capacité d’emprunt et la protection du dirigeant.

Le statut unique de l’entrepreneur individuel protège le patrimoine personnel en le séparant de celui de l’activité. Le guichet unique électronique, opéré par l’INPI, centralise la plupart des formalités de création, modification et cessation. Pour un créateur, bien exploiter ces outils, c’est réduire les frictions administratives et améliorer sa lisibilité bancaire et commerciale.

Climat économique régional : ralentissement mesuré, appétit entrepreneurial intact

Au quatrième trimestre 2024, l’activité et l’emploi ont connu un léger recul en Auvergne-Rhône-Alpes. Les tendances observées depuis 2023 se prolongent, avec une entrée en 2025 sans élan marqué selon l’analyse conjoncturelle régionale. L’économie ne décroche pas, mais elle avance sans excès de vitesse.

Dans ce cadre, l’entrepreneuriat joue un rôle d’amortisseur. Les créations d’entreprises et les développements d’activité servent de relais de croissance alors que la demande reste hésitante dans certains secteurs. GO Entrepreneurs s’inscrit précisément dans cette logique, en apportant des outils opérationnels pour convertir des intentions en résultat mesurable.

Lecture économique utile pour les arbitrages 2025

Les dirigeants devront piloter avec des hypothèses prudentes. Les investissements restent ciblés, la gestion du besoin en fonds de roulement demande de l’attention, et la priorisation des projets devient critique. Dans ce contexte, l’accès à des retours d’expérience concrets et des avis d’experts peut faire gagner plusieurs mois dans l’exécution.

Les enjeux de productivité et de positionnement se renforcent. Automatiser l’administratif, soigner la relation client, clarifier l’offre, sécuriser les contrats et anticiper la conformité peuvent constituer des sources de marge. Le salon en propose une lecture pragmatique, orientée décision.

Indicateurs à surveiller en Auvergne-Rhône-Alpes

  • Emploi marchand et signaux d’investissement des PME industrielles.
  • Commandes export sur les filières mécatronique, chimie et équipements.
  • Délais de paiement et pression sur la trésorerie dans les services B2B.
  • Recrutement dans les métiers en tension, indicateur avancé de croissance.

Ces variables guideront la gestion budgétaire et les arbitrages de développement au second semestre.

Pour un business plan 2025, il est pertinent d’envisager deux scénarios : un scénario central de croissance modérée et un scénario prudent avec demande atone. Ajuster les stocks, étaler les investissements non critiques, et renforcer le pilotage des marges par produit ou client aident à naviguer un environnement sans élan.

Ce que les dirigeants, daf et juristes peuvent y gagner

Le salon ne s’adresse pas qu’aux primo-créateurs. Les directions financières et les responsables juridiques y trouvent des réponses ciblées pour sécuriser des décisions qui engagent la performance. La valeur se mesure en raccourcissement des délais de décision et en réduction du risque d’erreur.

Financement : arbitrer sereinement ses leviers

Il s’agit d’ordonner les options, du financement non dilutif aux fonds propres. Étaler un investissement, solliciter une garantie, mobiliser le financement de l’innovation ou structurer une levée selon le cycle de vie : chaque piste a ses contreparties. La rencontre simultanée de partenaires bancaires, assureurs-crédit et acteurs de l’innovation accélère le diagnostic.

Dans le même esprit, la maîtrise des impacts sur le BFR et la marge devient un avantage compétitif. L’échange direct avec des experts permet de confronter ses hypothèses et de redresser une trajectoire avant que le coût d’opportunité ne s’alourdisse.

Juridique : sécuriser les fondations

Du choix de la structure à la gouvernance, les arbitrages juridiques conditionnent la solidité du projet. Contractualisation avec des clients stratégiques, protection du patrimoine, propriété intellectuelle, clauses de sortie entre associés : autant de sujets où un point de vue expert évite des angles morts coûteux.

La montée en puissance des exigences de conformité et la complexification de certains écosystèmes sectoriels appellent une approche structurée. Le salon propose un contexte où confronter sa documentation, éclaircir une clause ou repenser un pacte peut se faire en quelques échanges ciblés.

Commerce et opérations : capter du roi rapidement

En période d’activité hésitante, le gain marginal est clé. Automatiser la facturation, standardiser l’onboarding clients, harmoniser les prix, améliorer la politique de remises, ajuster les délais de paiement : ces réglages ont un effet cumulatif. Des retours d’expérience concrets permettent d’estimer l’impact avant de basculer en déploiement.

Le numérique agit comme catalyseur, mais les choix d’outils doivent rester mesurés. L’échange avec des pairs ayant déjà itéré sur des solutions comparables offre un raccourci utile pour éviter les reconfigurations coûteuses.

Plan d’action pour optimiser sa venue

  1. Fixer trois objectifs concrets avant l’événement : financement, statut, premier recrutement.
  2. Préparer un pitch de 60 secondes pour fluidifier les prises de contact.
  3. Identifier 6 à 8 conférences prioritaires en cohérence avec le plan à 12 mois.
  4. Organiser des créneaux de rendez-vous avec 4 à 5 partenaires clés.
  5. Venir avec un dossier synthétique : chiffres, hypothèses, besoins, points durs.

Une préparation d’une à deux heures en amont maximise l’effet de levier de la journée.

Un salon qui a pesé sur l’écosystème entrepreneurial français

GO Entrepreneurs se revendique comme l’un des rendez-vous qui ont accompagné la montée en puissance de l’entrepreneuriat en France. D’année en année, l’événement agrège en moyenne 55 000 visiteurs à l’échelle nationale. La déclinaison lyonnaise a vu passer des projets qui ont connu l’hypercroissance de 2024 et consolidé leurs bases en 2025.

Ce rôle tient à un format hybride qui mélange inspiration et exécution. Le salon n’évacue pas le récit entrepreneurial, mais il le reconnecte systématiquement à des ressources opérationnelles, à des conseils et à des mises en relation concrètes. C’est ce mix qui attire autant les primo-entrepreneurs que les dirigeants confirmés.

Des rencontres qui accélèrent les décisions

La valeur d’un salon se mesure moins au nombre de cartes de visite qu’au nombre de décisions rendues possibles. Les porteurs de projets viennent pour obtenir un « oui » ou un « non » plus vite, et s’éviter des cycles d’itération trop longs. Les intervenants et partenaires apportent cette densité d’informations qui permet d’écarter des options ou d’en confirmer d’autres.

Dans un environnement économique où la visibilité est réduite, ce pouvoir d’accélération compte autant que les capitaux mobilisés. Une trajectoire clarifiée, un calendrier ajusté, une structuration revue ont un effet direct sur la viabilité.

Des thématiques connectées aux besoins actuels

L’édition 2025 met en avant l’innovation durable et la numérisation comme vecteurs de compétitivité. Les organisations qui réussissent ne cherchent pas à tout transformer en même temps. Elles activent des chantiers prioritaires, s’assurent d’un ROI court et capitalisent les gains sur la période suivante.

Cet état d’esprit, pragmatique, est renforcé par les retours d’expérience d’entreprises qui « tiennent la route » dans des contextes fluctuants. Les dirigeants cherchent des comparaisons, pas des modèles abstraits. Ils veulent des repères simples pour poser des actes décisifs dans les trois mois.

Quand l’économie ralentit, les opportunités de reprise peuvent se multiplier. L’enjeu est de distinguer un signal conjoncturel d’un problème structurel. Un échange avec banquier, conseil M&A, expert-comptable et juriste, réalisé en séquence courte, permet de se forger une conviction. Le salon facilite cette mise en boucle courte de compétences.

Le rendez-vous lyonnais reflète un écosystème entrepreneurial qui a gagné en maturité. L’accès aux compétences, la circulation d’information et le maillage de partenaires ont changé d’échelle. Pour un dirigeant, la difficulté n’est plus tant d’accéder à un conseil que de filtrer et prioriser. Un salon comme GO Entrepreneurs agit comme un filtre organisé.

Indicateurs de contexte à garder en tête

L’INSEE souligne un manque d’élan en 2025 pour l’économie régionale, après un quatrième trimestre 2024 plus faible (INSEE Conjoncture Auvergne-Rhône-Alpes, mars 2025). Dans ce cadre, la gouvernance financière serrée et l’amélioration opérationnelle par petites touches restent des réflexes gagnants.

Les entrepreneurs convertissent ces contraintes en exigences méthodiques : mieux planifier, mesurer finement, itérer vite, et muscler la relation client. Ce sont précisément les angles que l’on retrouve dans les sessions de travail les plus suivies du salon.

Après lyon, quelles pistes pour transformer l’essai

Un salon n’a de valeur que s’il débouche sur des décisions et des résultats. L’édition 2025 de GO Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes vise cet impact, en combinant contenus, réseaux et rendez-vous activables dès le lendemain. Dans un environnement où la croissance additionnelle se gagne au centième près, cette densité d’information utile devient un actif en soi.

En filigrane, l’édition conforte une idée simple : l’entrepreneuriat demeure un pilier de la croissance française, y compris lorsque la conjoncture temporise. Réunir les acteurs qui font et qui savent, en un même lieu, le 25 septembre 2025, c’est offrir aux projets une courte mais précieuse avance sur leur calendrier.

GO Entrepreneurs Lyon 2025 s’impose comme un catalyseur de décisions rapides et éclairées, à la croisée des analyses économiques, des chiffres de la création et des besoins opérationnels des dirigeants.