Albert School c’est la nouvelle école de la data, nouveau genre ! Formule revisitée entre finance et data, l’établissement accueillera ses étudiants à la rentrée 2022. Le campus s’étendra sur 2 500 m² et sera installé dans le Xe arrondissement de Paris. Une soixantaine d’étudiants seront admis dans le cadre de la première promotion.

Albert School : data et finance au cœur du programme

Les métiers de la data séduisent de plus en plus, et ce, aussi bien les lycéens que les entreprises en perpétuelle recherche de talents. En effet, les sociétés sont en quête de personnes aptes à manipuler les flux de données devenant chaque fois plus importants. 

C’est en tenant compte de cette exigence que son fondateur, Grégoire Genest, a fondé l’école Albert. Selon lui, « savoir parler Python, l’un des grands langages de programmation actuels, est en train de s’imposer comme une nécessité pour les cadres, comme parler l’anglais a pu l’être pour les générations précédentes ». Un besoin donc plus que vital.

En ce sens, le nouvel établissement supérieur, délivrant un diplôme bac+5, se focalisera sur les données et leur exploitation. Il ouvrira ses portes à Paris à la rentrée prochaine. La première promotion de l’école accueillera environ une soixantaine d’étudiants.

Albert School, le classique conjugué à l’excellence

Albert School proposera une formation classique d’école de commerce, avec des enseignements tels que :

  • Les finances ;
  • Le marketing ;
  • Ou encore la stratégie…

Elle sera également complétée par un enseignement en mathématiques et traitement de données, comprenant le codage informatique. 

Par ailleurs, le codage informatique représentera « la moitié des cours » prévus au cours du cursus.  Et pour cause, « aujourd’hui, on ne peut pas gérer une entreprise sans comprendre la donnée », précise Grégoire Genest, lui-même diplômé de Polytechnique. Les frais de scolarité, quant à eux, seront les mêmes que ceux appliqués au sein d’une école de commerce classique.

Le soutien de partenaires prestigieux

Pour créer cet établissement, Grégoire Genest s’est associé avec de grands investisseurs. 

C’est, d’une part, sans compter sur l’aide de Xavier Niel, le fondateur d’Iliad et Free ayant connu un succès avec l’école 42. C’est alors tout bonnement qu’il participe à cette aventure, au carrefour du commerce et de l’ingénierie.

D’autre part, le fondateur Grégoire Genest peut aussi compter sur Pierre-Édouard Stérin, fondateur de Smartbox et diplômé d’EMLyon. Il s’est, en effet, placé en tant qu’actionnaire de l’école.

Enfin, l’établissement peut s’appuyer sur le soutien de partenaires de renom tels que LVMH, Blackrock, Iliad, IBM, Luko ou encore Spendesk. Avec Albert School, Grégoire Genest souhaite réunir grands groupes et start-ups, regroupant ceux « qui aspirent à l’émergence d’une génération data-literate ».