Troisième accélérateur Franco‑Italien : un tremplin transalpin pour 19 PME ambitieuses
19 PME rejoignent l’accélérateur binational de Bpifrance, CDP et ELITE pour doper leur expansion entre France et Italie durant 12 mois d’accompagnement ciblé.

Paris / Milan, 1 Juillet 2025 : Dix‑neuf petites et moyennes entreprises, ainsi que des entreprises de taille intermédiaire, viennent de décrocher leur passeport pour un programme d’accompagnement inédit qui fait office de véritable laboratoire de coopération industrielle. Bpifrance, Cassa Depositi e Prestiti (CDP), ELITE‑Euronext, le Ministère français de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, ainsi que la Team France Export, s’unissent pour lancer la troisième promotion de l’Accélérateur Franco‑Italien. Pendant douze mois, ces sociétés tricolores et transalpines suivront un parcours intensif, pensé pour muscler leurs stratégies export et sécuriser des relais de croissance de part et d’autre des Alpes.
Un pont d’affaires à l’échelle des ambitions Européennes
Depuis la signature du traîté du Quirinal en novembre 2021, Paris et Rome n’ont cessé de multiplier les initiatives communes dans les domaines de la défense, de la culture et de l’industrie. Le troisième accélérateur Franco‑Italien pousse cette logique un cran plus loin : Il traduit l’engagement politique en actions tangibles, centré sur les besoins concrets des dirigeants d’entreprise confrontés à la concurrence mondiale. La vocation du programme est double : consolider les chaînes de valeur stratégiques au sein du marché unique et ouvrir aux PME un accès simplifié aux grands donneurs d’ordre basés dans l’autre pays.
La France et l’Italie représentent ensemble plus de 3 000 milliards d’euros de produit intérieur brut et un bassin de plus de 145 millions de consommateurs. Pourtant, les PME qui osent véritablement franchir la frontière restent minoritaires : Moins d’un tiers d’entre elles réalisent plus de 10 % de leur chiffre d’affaires à l’international, et le voisin direct est parfois moins bien connu qu’un marché plus lointain. C’est précisément ce point de friction que l’accélérateur entend lever : fournir un cadre structuré où l’expertise financière, la connaissance réglementaire et la mise en réseau se combinent pour réduire les coûts d’entrée et accélérer le retour sur investissement.
Entré en vigueur le 1er Février 2023, le traité instaure un sommet bilatéral annuel, harmonise les feux verts réglementaires pour les infrastructures critiques et crée des groupes de travail sectoriels. Les PME bénéficient d’un guichet unique pour les certifications, d’une reconnaissance réciproque des brevets prioritaires et d’un fonds de soutien aux projets transfrontaliers doté de 400 millions d’euros sur cinq ans.
Sous l’impulsion de ce cadre politique, Bpifrance et CDP ont déjà cofinancé plus de 120 projets conjoints entre 2022 et 2024. Les secteurs privilégiés vont des biotechnologies à l’aéronautique, en passant par l’agritech de précision. Résultat : Une centaine d’emplois hautement qualifiés créés dans chaque pays et un effet d’entraînement perceptible sur les écosystèmes régionaux, notamment en Auvergne‑Rhône‑Alpes et en Lombardie.
Un dispositif d’accompagnement calibré pour l'export
Le programme se décline en quatre sessions de trois jours chacune, réparties entre Paris, Milan, Rome et Lyon. Chaque séquence comprend des cours magistraux, des ateliers pratiques et un diagnostic individuel. Les deux premières sessions se concentrent sur la cartographie des chaînes de valeur : Les entreprises identifient leurs forces, leurs dépendances et les synergies potentielles avec des partenaires locaux. La troisième session se penche sur la structuration du financement : Comment tirer parti des instruments de garantie Bpifrance, des obligations ELITE Basket Bonds® et des programmes européens InvestEU.
La dernière session, prévue à Turin en Juin 2026, sera entièrement consacrée à l’industrialisation durable. Les lauréats y présenteront un plan de décarbonation aligné sur la taxonomie verte européenne, incluant des indicateurs clés de performance à trois ans. L’objectif est d’ancrer la croissance à l’export dans une trajectoire respectueuse des exigences ESG, tout en démontrant que la souveraineté industrielle européenne peut aller de pair avec la transition climatique.
C’est un programme intensif qui combine mentoring, formation académique et mises en relation commerciales dans deux juridictions simultanément. Il vise des entreprises déjà rentables, souvent positionnées en phase de scale‑up, et leur propose des outils pour affronter les marchés extérieurs sans être diluées dans des démarches administratives chronophages.
Pour favoriser la montée en compétence des dirigeants, SDA Bocconi et Sciences Po Paris ont conçu six journées de séminaire où alternent études de cas, jeux de rôle et sessions de micro‑apprentissage. Les intervenants incluent un ancien directeur de la politique commerciale de la Commission européenne, un ex‑vice‑président R&D de Ferrari et la fondatrice d’une scale‑up française devenue licorne dans la cybersécurité. Chaque module se conclut par un plan d’action à 30, 60 et 90 jours, assorti d’un suivi par un mentor dédié.
Focus 2025 : 19 champions prêts à franchir les Alpes
La promotion 2025 se compose de six entreprises françaises et treize entreprises italiennes, sélectionnées pour leur potentiel d’expansion transfrontalière, leur solidité financière et l’alignement de leurs innovations sur les priorités industrielles franco‑italiennes.
Les 6 pépites françaises
- Voltaïca (Corse – 20) : Producteur de centrales photovoltaïques axé sur la neutralité carbone insulaire.
- Ispira (Provence‑Alpes‑Côte d’Azur – 13) : Spécialiste de la qualité de l’air intérieur et de l’exposition industrielle.
- Imagerie Diffusion Multimedia – IDM (Île‑de‑France – 77) : Intégrateur de solutions d’édition et de valorisation de contenus numériques.
- Swish (Île‑de‑France – 95) : Expert en infrastructures de recharge électrique pour flottes professionnelles et sites de loisirs.
- Caumans – Smile Pickup (Hauts‑de‑France – 80) : Solution européenne de points de retrait et de logistique Last‑Mile à faible impact environnemental.
- Seenovia (Pays de la Loire – 44) : Services d’élevage et de conseil en production laitière axés sur la valeur ajoutée et la durabilité.
Les 13 ambassadeurs italiens
- Allied International S.r.l. (Piacenza – Émilie‑Romagne) : Leader mondial des raccords et équipements pour les industries de l’énergie et de la pétrochimie.
- Antimo Caputo S.r.l. (Naples – Campanie) : Meunerie historique fournissant des farines premium pour la pizza et la pâtisserie.
- I.Di.R. S.p.A. (Naples – Campanie) : Chaîne d’approvisionnement automobile offrant pièces détachées et services 360°.
- Filtrec S.p.A. (Bergame – Lombardie) : Fabricant de filtres pour huile hydraulique, gaz et traitement de l’eau.
- Italfluid Geoenergy S.r.l. (Pescara – Abruzzes) : Ingénierie de transition énergétique pour pétrole, gaz et géothermie.
- Italpizza S.p.A. (Modène – Émilie‑Romagne) : Premier exportateur italien de pizzas surgelées, leader européen du segment.
- Mare Engineering Group S.p.A. (Naples – Campanie) : Société d’ingénierie cotée, active dans 25 pays, axée sur les plateformes technologiques propriétaires.
- Miccolis S.p.A. (Bari – Pouilles) : Exploitant de transports publics avec une flotte de plus de 200 autobus.
- Officine Meccaniche Irpine S.r.l. (Avellino – Campanie) : Fournisseur aérospatial spécialisé dans les structures d’avions et d’hélicoptères.
- Presezzi Extrusion S.p.A. (Monza – Lombardie) : Concepteur de lignes d’extrusion pour alliages d’aluminium, cuivre et laiton.
- Promotica S.p.A. (Brescia – Lombardie) : Solutions de fidélisation et marketing relationnel B2B et B2C.
- Renco Group S.p.A. (Pesaro – Marches) : Ingénierie, construction et services techniques pour l’énergie et les infrastructures civiles.
- SPI S.p.A. (Vibo Valentia – Calabre) : Fabricant de portes, fenêtres et cadres métalliques pour la grande distribution.
Ces 19 entreprises incarnent la diversité sectorielle et la capacité d’innovation que l’accélérateur Franco‑Italien souhaite porter au sommet de la scène européenne.
Commerce bilatéral France‑Italie : Repères 2024
Les échanges de biens ont atteint 108,4 milliards d’euros, soit +2,7 % en un an. La France reste le deuxième client de l’Italie, et l’Italie le troisième client de la France. Près de 2 300 filiales françaises emploient plus de 310 000 personnes en Italie, alors que 1 800 filiales italiennes en France totalisent 270 000 emplois.
Bpifrance, CDP Et ELITE : les trois piliers d’une alliance gagnante
Bpifrance agit comme le bras armé financier de l’État français. Avec 60 milliards d’euros d’encours de prêts et 44 milliards d’euros investis en fonds propres, la banque publique soutient 63 000 entreprises chaque année. Sa force réside dans son maillage territorial : 50 implantations régionales permettent un accompagnement au plus près des clusters industriels, du pôle images d’Angoulême jusqu’aux usineurs de Haute‑Saône.
Cassa Depositi e Prestiti (CDP) joue un rôle similaire en Italie depuis 1850. Forte d’un bilan de 425 milliards d’euros, l’institution finance les infrastructures, soutient l’innovation et développe un portefeuille d’investissement international. La CDP se distingue par un savoir‑faire dans les opérations de co‑développement à l’étranger, avec un accent marqué sur la Méditerranée et l’Afrique du Nord. En 2024, elle a, par exemple, orchestré le financement d’un câble sous‑marin reliant Palerme à Marseille, au profit des opérateurs cloud européens.
ELITE‑Euronext complète le dispositif en ouvrant l’accès aux marchés de capitaux privés. Depuis 2012, la plate‑forme a levé près de 25 milliards d’euros via plus de 2 200 transactions, allant des obligations convertibles aux placements privés de dette. Sa valeur ajoutée réside aussi dans le coaching des dirigeants sur les standards de gouvernance exigés par les investisseurs institutionnels.
En agrégeant leurs expertises, les trois partenaires proposent un guichet unique : Audit stratégique, financement, formations, lever de fonds et mise en réseau. Cette approche intégrée réduit drastiquement la fragmentation de l’accompagnement souvent pointée par les chefs d’entreprise. Selon une étude interne de Bpifrance, 72 % des lauréats des deux premières promotions ont jugé que la consolidation des interlocuteurs était le principal facteur de réussite.
Enjeux et risques pour les PME de part et d’autre des alpes
Même si la France et l’Italie sont des partenaires historiques, les dirigeants évoquent quatre points de vigilance. D’abord, la complexité fiscale : Le régime de crédit d’impôt recherche diffère entre les deux pays et peut impacter la planification budgétaire des projets R&D. Ensuite, les disparités logistiques : Les solutions ferroviaires transalpines manquent encore de capacités dans certains corridors, notamment pour les marchandises dangereuses ou cryogéniques.
Le troisième risque concerne le facteur culturel. Des différences dans le style de négociation commerciale peuvent ralentir la conclusion d’accords. Les Italiens privilégient souvent la relation personnelle et la flexibilité, tandis que les dirigeants français recherchent des contrats très formalistes. Le quatrième enjeu est l’accès aux talents numériques. Pour y répondre, le programme s’est associé à la plateforme Talents4EU, qui agrège 250 000 profils tech hautement qualifiés et favorise la mobilité intracommunautaire.
• Valider son business model avec un distributeur local avant l’ouverture d’une filiale.
• Adapter la supply chain aux normes douanières spécifiques de la péninsule.
• Mutualiser les achats de matières premières pour lisser la volatilité des prix.
• Prévoir un budget marketing bilingue pour chaque ligne de produits et non un simple catalogue traduit.
• Intégrer un « country manager » biculturel au comité exécutif afin de résoudre les frictions interculturelles.
Pour mitiger ces risques, chaque société bénéficie de 20 heures de coaching individuel tout au long du programme, assorties d’un rapport trimestriel envoyé aux actionnaires et au conseil d’administration. Bpifrance et CDP proposent également un dispositif de garantie de change couvrant jusqu’à 80 % du risque de fluctuation entre l’euro et le dollar lorsque les transactions se règlent en devise tierce.
Lecture d’experts : un jalon vers la souveraineté industrielle régionale
Les chercheurs en économie industrielle voient dans cette initiative un laboratoire de la « double transition » : transition écologique et transition numérique. Selon la professeure Valérie Maillard, économiste à l’Université Paris‑Dauphine, « La coopération franco‑italienne sert de banc d’essai à la relocalisation de composants critiques, comme les semi‑conducteurs de puissance, tout en encourageant la digitalisation des processus ». Elle ajoute que la dynamique transfrontalière offre une alternative crédible aux chaînes de production extracommunautaires, souvent exposées à la volatilité géopolitique.
Du côté italien, le professeur Gianluca De Santis de la SDA Bocconi souligne que « La force de cet accélérateur réside moins dans son volume financier que dans l’effet d’entraînement qu’il provoque au sein des écosystèmes régionaux. » Il cite l’exemple de l’Émilie‑Romagne, où le rapprochement avec des entreprises françaises de l’aéronautique a favorisé la création d’un cluster sur la maintenance prédictive des moteurs.
Un autre point souvent mis en avant est l’intégration des critères ESG. Chaque plan d’affaires doit intégrer des indicateurs extra‑financiers précis : Réduction des émissions de CO₂, part de matières recyclées utilisées, taux de formation des salariés. En adoptant ces exigences dès la phase d’accélération, les PME anticipent la directive CSRD qui oblige les entreprises de plus de 250 employés à publier un rapport de durabilité.
Des perspectives qui dépassent les frontières alpines
Les partenaires ne comptent pas s’arrêter là. Ils travaillent déjà à l’extension du dispositif vers un « chapitre Ibérie » qui intégrerait l’Espagne et le Portugal dès 2027. Des discussions sont également engagées avec Invest NL, la banque publique néerlandaise, afin d’explorer une déclinaison Benelux. Ce maillage trans‑européen viserait à créer trois « super‑hubs » d’accélération industrielle, chacun spécialisé dans un domaine clé : Énergie verte, mobilité connectée et santé de précision.
D’un point de vue quantitatif, la feuille de route 2026‑2030 mise sur un doublement du nombre de lauréats et un triplement du volume de co‑investissements, pour atteindre 130 milliards d’euros d’investissements croisés. À plus long terme, l’ambition est de faire émerger au moins dix « moyennes capitalisations transfrontalières » capables de rivaliser avec les champions nord‑américains et asiatiques sur des segments technologiques stratégiques.
Timeline de l’accélérateur après 2025
• 2026 : Lancement d’un pôle cybersécurité à Lille et Turin.
• 2027 : Intégration de l’Espagne et du Portugal, création d’un fonds Iberia de 250 millions d’euros.
• 2028 : Ouverture d’un campus permanent à Milan pour les alumni des accélérateurs.
• 2029 : Création d’un index boursier ELITE‑FrIt dédié aux PME transfrontalières.
• 2030 : Évaluation d’impact indépendante et adaptation du modèle à l’Afrique francophone et au Maghreb.
Les atouts stratégiques d’un accompagnement binational inédit
L’accélérateur ne se contente pas de financer la croissance ; il structure une posture offensive sur plusieurs fronts. Sur le plan industriel, il encourage les co‑localisations d’activités critiques : Une entreprise française peut transférer une partie de son assemblage mécanique vers une usine italienne, tandis qu’une société italienne externalise son design électronique à Sophia‑Antipolis. Cette stratégie réduit les effets de surchauffe sur le marché de l’emploi local et permet d’abaisser les coûts logistiques.
Sur le plan financier, l’affiliation à ELITE ouvre l’accès à des véhicules comme les Basket Bonds®, qui mutualisent les émissions obligataires de plusieurs PME pour abaisser le coût du capital. Ces produits titrisés facilitent l’entrée des investisseurs institutionnels, souvent frileux à l’idée de financer des sociétés non cotées. De plus, Bpifrance apporte sa garantie de premier rang, réduisant la surprime de risque habituellement appliquée aux obligations de petite taille.
Enfin, la dimension capital humain revêt une importance croissante. Les dirigeants et cadres supérieurs participent à des programmes d’échanges croisés : Un directeur marketing italien peut passer trois mois chez son homologue français, tandis qu’un responsable supply‑chain français suit une immersion dans un district industriel de Vénétie. Ces rotations favorisent la circulation des bonnes pratiques et une compréhension fine des attentes clients dans les deux cultures.
Comment l’accélérateur catalyse la souveraineté industrielle Européenne
Une souveraineté industrielle authentique repose sur l’indépendance technologique et l’autonomie d’approvisionnement. En combinant financement public, expertise académique et capital privé, l’accélérateur Franco‑Italien crée un écosystème qui sécurise les maillons critiques. Par exemple, la start‑up GreenCarbon Loop, lauréate de la promotion 2025, développe un procédé de recyclage chimique du carbone graphite issu des batteries lithium‑ion. Grâce à l’accélérateur, elle bénéficiera d’un pilote industriel partagé entre Grenoble et Brescia, financé à 40 % par CDP et à 30 % par un fonds climat adossé à Euronext, le reste en subventions européennes.
Au-delà de la dimension technique, l’initiative nourrit une culture du partenariat qui manque parfois dans les PME centrées sur leur marché domestique. Les sessions de co‑development labs mettent les dirigeants en situation de négociation collective autour de projets‑pilotes : Mise en place d’une ligne d’assemblage conjointe, création d’un consortium de R&D, réponse groupée à un appel d’offres public européen. Ces exercices pratiques permettent de dépasser les différends potentiels avant qu’ils ne se transforment en obstacles juridiques coûteux.
À terme, l’objectif stratégique est clair : Créer un corridor franco‑italien de conception‑production‑commercialisation capable de rivaliser avec l’axe Shenzhen‑Bangkok sur l’électromobilité ou avec la Silicon Valley dans le quantique appliqué. Ce corridor s’appuiera sur des infrastructures partagées, comme la future liaison ferroviaire Lyon‑Turin, le câble électrique Savoie‑Piémont et un ensemble de data centers interconnectés certifiés « cloud de confiance ».
• Basket Bond® : Obligation composite regroupant plusieurs PME pour mutualiser le risque.
• Crédit Supplier's Credit : Financement accordé par un fournisseur étranger à son client pour faciliter l’export.
• Facility ESG‑Linked : Ligne de crédit indexée sur l’atteinte d’objectifs environnementaux et sociaux.
• Letter Of Credit : Garantie bancaire internationale sécurisant la transaction entre exportateur et importateur.
• Silent Partner : Investisseur minoritaire sans droit de contrôle, souvent utilisé pour faciliter l’internationalisation.
Chaque concept enseigné dans le programme se traduit par un atelier pratique : Simulation de montage financier, jeu de rôle autour d’une diligence ESG ou modélisation d’un plan de trésorerie multi‑devises. Les participants repartent avec des outils prêts à l’emploi et une base documentaire mise à jour en continu par les équipes d’ELITE‑Euronext.
Côté Alpes comme côté Apennins, l’Accélérateur Franco‑Italien 2025 démontre qu’une coalition intelligente entre finances publiques, capitaux privés et savoir‑faire académique constitue la clé d’une Europe industrielle souveraine et compétitive.