Europlasma signe un partenariat pour valoriser énergétiquement les déchets
Europlasma s’associe à Beijing AptBlaze pour transformer des déchets industriels en énergie via vitrification et chaudières haute performance, réduisant l’empre
Le groupe industriel français Europlasma vient de franchir une étape décisive en matière de décarbonation. L’entreprise a annoncé la signature d’un partenariat exclusif avec la société chinoise Beijing AptBlaze Technology Co., Ltd. pour accélérer la valorisation énergétique de déchets industriels. Cet accord s’inscrit dans une démarche stratégique, visant à allier rentabilité économique et sobriété environnementale.
Un partenariat qui redessine les perspectives industrielles
La collaboration entre Europlasma et Beijing AptBlaze Technology Co., Ltd. englobe l’utilisation et le développement d’une gamme de chaudières à haut rendement, combinées à un procédé de vitrification des Résidus d’Épuration des Fumées d’Incinération des Déchets Industriels (REFIDI). Cette technologie, déjà portée par la filiale Europlasma Environmental Technologies Co Ltd., offre la possibilité de transformer des déchets à haut pouvoir calorifique en énergie électrique.
La nouveauté de ce projet repose sur le fait que les volumes de rejets, tant au niveau des émissions gazeuses que des résidus solides, se situent dans la fourchette la plus vertueuse des standards internationaux. L’initiative sert donc deux objectifs majeurs : améliorer la performance financière de sites industriellement gourmands en énergie et contribuer à la réduction de l’empreinte carbone, enjeu de plus en plus prégnant pour la compétitivité et la responsabilité sociale d’entreprise.
Le REFIDI désigne les Résidus d’Épuration des Fumées d’Incinération de Déchets Industriels. Il s’agit de résidus solides particulièrement dangereux, contenant des métaux lourds et d’autres composés toxiques. Les solutions classiques d’enfouissement présentent de forts risques pour l’environnement. La vitrification vise à les transformer en une matière solide et stable, moins susceptible de polluer le sol et la nappe phréatique.
Un modèle qui dépasse la simple valorisation énergétique
Si cette initiative revêt une telle importance, c’est parce qu’elle va bien au-delà de la transformation des déchets en énergie. Elle pose les bases d’une réduction importante du recours à l’enfouissement, pratique qui reste un lourd passif dans la gestion des déchets. Les pays européens, dont la France, renforcent leurs réglementations pour réduire les nuisances environnementales liées à l’enfouissement de déchets dangereux. Mais la pratique demeure encore très répandue, faute de solutions rentables et technologiquement fiables.
En s’associant avec AptBlaze, Europlasma entend prouver que la décarbonation n’est pas synonyme de contraintes budgétaires insurmontables. Au contraire, le nouveau partenariat, alliant vitrification et système de chaudières à haut rendement, ouvre des opportunités : garantir une fourniture stable d’électricité, potentiellement revendue sur le marché, tout en réduisant considérablement le bilan carbone.
Bon à savoir : la décarbonation au cœur des défis industriels
La décarbonation désigne l’ensemble des méthodes et technologies visant à diminuer, voire compenser, les émissions de CO₂ dans l’atmosphère. Dans l’industrie, il s’agit de remplacer progressivement les énergies fossiles par des énergies propres, d’optimiser les processus de production et de gérer efficacement les déchets afin de réduire l’empreinte environnementale.
Les enjeux pour Europlasma : une lecture stratégique
Au-delà de l’innovation, cette coopération sino-française propose une dynamique plus large. Pour Europlasma, décidée à renforcer sa présence dans la dépollution et la décarbonation, l’accord offre une solution technologique « clé en main » afin d’exploiter l’importante puissance calorifique de certains déchets à fort potentiel énergétique. Par ailleurs, les sites industriels du groupe, confrontés à des besoins massifs en électricité, pourraient parvenir à un équilibre énergétique inédit, en produisant et en consommant leur propre électricité verte.
En France, les réglementations environnementales poussent de plus en plus les entreprises à adopter des mesures de valorisation énergétiques fiables. Les pénalités fiscales et la hausse des prix de l’énergie encouragent l’incorporation de dispositifs plus écologiques. Pour le Groupe Europlasma, c’est l’occasion de démontrer que la maîtrise de la pollution peut aller de pair avec la performance économique, ce qui n’avait, jusqu’à récemment, jamais été aussi tangible.
AptBlaze : la « touche » chinoise au service de la France
Beijing AptBlaze Technology Co., Ltd. a été fondée en 2012 par le Professeur Zhang Yanguo, issu de la prestigieuse Université de Tsinghua. Depuis ses débuts, l’entreprise se consacre à l’étude et au développement de technologies complexes de gazéification et d’incinération de déchets organiques. Sa notoriété s’est construite autour du lit fluidisé turbulent (TFB), un procédé qui assure, selon AptBlaze, une grande flexibilité d’utilisation et une réduction significative des émissions de CO₂.
Ce rapprochement illustre l’intérêt croissant d’acteurs chinois désireux de coopérer avec des industriels européens experts en dépollution, dans un contexte où la lutte contre les changements climatiques prend une envergure mondiale. Pour AptBlaze, c’est l’opportunité de prouver l’efficacité de sa technologie à l’échelle européenne, tandis que pour Europlasma, c’est l’assurance de disposer d’un support industriel solide pour fiabiliser la production électrique.
Le lit fluidisé turbulent (TFB) est un procédé qui assure une combustion plus homogène des matières organiques. Le mélange étroit entre déchets et agent de combustion (air, oxygène, etc.) améliore la réaction et permet de diminuer la formation de polluants comme les oxydes d’azote. Il offre aussi une meilleure stabilité, y compris face aux variations de la nature des déchets brûlés.
Perspective économique : de la recherche à l’industrialisation
La recherche et développement autour des chaudières à haut rendement est cruciale pour la compétitivité européenne. Bien qu’il existe déjà des technologies de récupération d’énergie à partir de déchets, Europlasma et AptBlaze proposent une intégration unique : la combinaison des chaudières performantes et de la vitrification des déchets. Cette convergence pourrait favoriser la mise en place de centrales CSR (Combustibles Solides de Récupération), capables de traiter en continu des flux de déchets industriels variés.
Concrètement, un projet de construction d’une première centrale CSR d’environ 30 MWe a déjà été évoqué. Ce chantier, prévu sur le site de CHOPEX à Morcenx-la-Nouvelle, devra encore recevoir l’aval des autorités. Si cette installation voit le jour, elle pourrait prouver la faisabilité et la rentabilité du concept, en fournissant de l’électricité à grande échelle tout en réduisant la dépendance aux énergies fossiles.
Les étapes clés du déploiement en France
L’accord exclusif entre Europlasma et AptBlaze prévoit un déploiement progressif sur différents sites industriels, au-delà du site pilote de Morcenx-la-Nouvelle. Selon le communiqué, des délégations techniques se sont rencontrées les 8 et 9 juillet pour finaliser le projet de la première centrale CSR. Après validation réglementaire, cette structure ambitionne d’assurer non seulement une autosuffisance électrique, mais aussi un volume significatif de surplus pouvant être revendu.
Le plan à moyen terme vise l’extension de cette technologie à d’autres entités du groupe Europlasma disposant des autorisations administratives et de l’espace foncier suffisant. L’idée est d’inscrire ce déploiement dans une dynamique de transition industrielle complète, afin de réduire l’impact environnemental et de renforcer la compétitivité du groupe sur le marché français et international.
Bon à savoir : qu’entend-on par « CSR » ?
Le CSR (Combustible Solide de Récupération) est issu de déchets non dangereux et non recyclables, principalement de type industriel ou commercial. Grâce à un tri poussé et à des traitements adaptés, on obtient des matériaux à pouvoir calorifique élevé, qui peuvent être brûlés dans des chaudières spécifiques pour produire de l’énergie, tout en limitant l’enfouissement.
Retour sur l’histoire récente d’Europlasma : de la gazéification avancée à la vitrification
Il y a cinq ans, Europlasma avait renoncé à un projet de « gazéification avancée » qui ne trouvait ni la rentabilité ni la fiabilité attendues sur le marché. Cette phase a représenté un tournant stratégique, car la direction a dû repenser en profondeur le modèle économique du groupe. Aujourd’hui, en s’ancrant dans la vitrification des déchets et la haute performance énergétique, Europlasma renoue avec son ambition originelle : mettre en place des solutions qui éliminent sans enfouir.
Historiquement, la société a toujours cherché à dépasser les frontières de la simple incinération pour trouver des approches plus respectueuses de l’environnement. Depuis 1992, elle s’est diversifiée dans différents secteurs industriels, tout en maintenant comme fil directeur la dépollution et la transformation de déchets à haute toxicité. Le groupe est structuré autour de trois grands pôles : l’industrie des pièces forgées et fondues, la dépollution de certaines matières dangereuses et la décarbonation (via la production de CSR). Grâce à l’expertise acquise, Europlasma tentait régulièrement de faire la démonstration de la faisabilité de procédés industriels avancés, capable de rivaliser avec les technologies plus classiques.
Les leviers réglementaires en France et en Europe
Les normes environnementales françaises sont devenues de plus en plus exigeantes, notamment depuis la loi sur la transition énergétique pour la croissance verte (LTECV). Parallèlement, au niveau européen, la directive-cadre sur les déchets prévoit des paliers de réduction d’enfouissement et d’augmentation du recyclage. Dans ce contexte, la décarbonation ne se limite pas à un simple effet d’annonce : elle est encouragée par des dispositifs incitatifs, parfois accompagnés de pénalités en cas de non-respect.
Le recours à la valorisation énergétique pour les déchets industriels rencontre donc un écho favorable auprès des pouvoirs publics, soucieux d’impulser une mutation économique alignée sur les Objectifs de Développement Durable (ODD). Pour Europlasma et son partenaire chinois, le timing semble opportun : montrer qu’il est techniquement possible de proposer des solutions « zéro enfouissement » pour des déchets particulièrement problématiques, en profitant des aides ou subventions de l’État, et en répondant aux appels d’offres de plus en plus fréquents.
L’enfouissement présente d’importants risques : émissions de gaz à effet de serre (principalement le méthane), risques de contamination des sols et des eaux souterraines, sans oublier la saturation rapide des centres de stockage. De nombreux pays européens cherchent désormais à réduire drastiquement la mise en décharge, d’où l’ouverture vers des procédés de valorisation énergétique et de recyclage.
Pourquoi la vitrification séduit-elle autant ?
La vitrification consiste à porter les déchets à très haute température afin de les transformer en une structure vitreuse. Ce procédé encapsule les molécules dangereuses dans une matrice solide, rendant les polluants inertes et moins susceptibles de s’échapper dans l’environnement. À ce jour, elle constitue l’une des méthodes les plus abouties pour traiter des résidus extrêmement complexes, comme les cendres volantes, l’amiante ou encore certains déchets hospitaliers.
Cependant, la vitrification est énergivore. Pour rendre l’opération rentable, l’idée d’Europlasma est de tirer parti de la chaleur libérée : utiliser la combustion de déchets à haut pouvoir calorifique pour alimenter le four de vitrification et produire de l’électricité. Autrement dit, on résout en partie la question du coût énergétique en exploitant des déchets qui, par ailleurs, ne trouveraient pas d’autre exutoire si ce n’est l’enfouissement.
AptBlaze et Europlasma : une symbiose technologique
Lever le défi de la dépendance énergétique en France requiert des coopérations internationales. La Chine, première puissance manufacturière mondiale, a acquis une expertise sur la gestion des flux de matières, qu’elles soient brutes ou issues de déchets. L’exemple d’AptBlaze montre que des innovations importantes existent en Asie pour traiter les rebuts industriels ; en parallèle, l’Europe, et plus particulièrement la France, souhaite accélérer sa transition écologique.
En alliant savoir-faire français et expertise chinoise, le partenariat table sur une montée en puissance progressive des énergies renouvelables et de récupération en Europe. Les installations de Morcenx-la-Nouvelle serviront de vitrine internationale, attirant potentiellement d’autres industriels curieux de cette synergie. Les procédés de gazéification et d’incinération à lit fluidisé turbulent (TFB) développés par AptBlaze, une fois adaptés aux besoins spécifiques d’Europlasma, devraient contribuer à consolider la filière CSR en France.
De fortes ambitions pour l’exportation
Si la priorité actuelle est l’implémentation en France, Europlasma et AptBlaze pourraient à terme proposer cette offre à d’autres régions du monde. Les directives environnementales s’intensifient également en Asie, et le groupe français pourrait valoriser ses savoir-faire au-delà de l’Europe. Il s’agit d’une opportunité de devenir le partenaire incontournable des industries lourdes qui cherchent à moderniser leurs infrastructures tout en répondant aux exigences écologiques locales.
En effet, dans de nombreux pays, la gestion des déchets industriels demeure un point critique, souvent géré par le simple enfouissement ou l’incinération classique, polluante et coûteuse. Un process de vitrification appuyé par des chaudières performantes, doublé d’une production d’énergie rentable, suscite forcément l’intérêt des investisseurs. On observe également une volonté grandissante de limiter les externalités négatives, à l’instar des scandales autour des décharges à ciel ouvert ou de la pollution des ressources en eau.
Une nouvelle ère pour les filiales du groupe
L’application de la technologie Europlasma-AptBlaze ne se limitera pas au site de Morcenx. Plusieurs filiales disposent déjà des emprises foncières nécessaires et attendent d’obtenir les autorisations d’exploiter. L’intérêt, pour ces sites, est multiple : disposer d’une production continue d’électricité, diminuer les coûts énergétiques et s’affranchir de la volatilité des tarifs sur le marché de l’énergie. En outre, la satisfaction des exigences réglementaires renforcerait leur position compétitive, en France comme à l’international.
Le succès de la première centrale CSR conditionnera aussi la rapidité de l’essaimage de ce modèle. S’il se révèle concluant, on peut s’attendre à ce que l’effet d’échelle apporte des économies supplémentaires et un savoir-faire consolidé, rendant la solution encore plus attractive que les alternatives actuelles. Cette approche globale ne se contente pas de focaliser l’innovation sur un seul site : elle favorise une nouvelle conception de la production industrielle, basée sur l’optimisation des ressources de A à Z.
Qui est Europlasma ? Focus sur un acteur français historique
Créé en 1992, Europlasma est présent dans plus d’un secteur industriel stratégique. Sa notoriété provient notamment de ses activités dans la défense, mais l’entreprise contribue également à la préservation de l’environnement grâce à ses procédés uniques, tels que la vitrification de déchets dangereux et la production de combustibles de substitution (CSR). Au cœur de son ADN se trouve l’idée de transformer des menaces environnementales en opportunités énergétiques.
Trois grands pôles d’activité définissent la mission d’Europlasma :
- L’industrie : fabrication de pièces forgées et fondues, ainsi que de feuilles d’aluminium anodisées pour condensateurs.
- La dépollution : traitement de l’amiante, des cendres volantes, et des crasses d’aluminium.
- La décarbonation : valorisation de déchets non recyclables en combustibles solides de récupération (CSR).
Cette complémentarité confère au groupe une bonne connaissance des cycles de production, et lui permet de maîtriser chaque étape de la chaîne de valeur, depuis la conception industrielle jusqu’à la réparation des dommages environnementaux.
Bon à savoir : cendres volantes et crasses d’aluminium
Les cendres volantes sont les particules fines issues de la combustion (centrales thermiques, incinérateurs). Elles contiennent des métaux lourds et d’autres composés toxiques, rendant leur traitement complexe. Les crasses d’aluminium proviennent du recyclage ou de la fusion d’aluminium et peuvent contenir des oxydes et des sels de chlorures. Les deux types de résidus nécessitent des approches spécifiques pour minimiser leur impact environnemental.
Rôle du projet dans le paysage concurrentiel
Le choix d’une alliance internationale pour la décarbonation témoigne aussi de l’évolution des mentalités dans le monde de l’entreprise. Là où la concurrence régnait parfois sans partage, on voit émerger des synergies qui permettent de mutualiser investissements, savoir-faire et risques. En France, la concurrence sur le segment de la valorisation des déchets dangereux est principalement portée par des acteurs historiquement positionnés sur la chimie ou l’incinération pure. L’arrivée d’une alternative associant vitrification et chaudière haute performance pourrait donc venir bousculer le marché.
Du côté d’AptBlaze, c’est l’opportunité de tester ses technologies dans l’environnement réglementaire et technique de l’Union européenne. Les attentes en termes de performances environnementales y sont élevées, tout comme les besoins d’efficacité économique. En s’impliquant dans ce projet français, la société chinoise bénéficie d’une vitrine concrète pour séduire de futurs partenaires au-delà même des frontières de la France.
Les retombées potentielles pour le territoire
L’impact local d’un tel partenariat ne doit pas être sous-estimé. La création d’une centrale CSR de 30 MWe à Morcenx-la-Nouvelle pourrait générer une nouvelle dynamique économique : embauches directes pour la construction et la maintenance de l’infrastructure, et activités indirectes (logistique, services auxiliaires). De plus, le savoir-faire développé sur place pourrait se diffuser dans d’autres régions françaises, où les déchets industriels restent un enjeu majeur.
Du point de vue des collectivités, la perspective de s’autofinancer énergétiquement en valorisant des déchets industriels peut être perçue comme un atout stratégique, surtout dans un contexte de flambée des prix de l’énergie. Outre la réduction de la facture énergétique, cette solution contribue à l’attractivité du territoire pour de nouveaux investisseurs, sensibles à la problématique de la neutralité carbone. Enfin, il y a le bénéfice d’une meilleure acceptation sociale : voir un groupe industriel historique miser sur une politique durable renforce l’adhésion locale.
Défis et obstacles à surmonter
Malgré son potentiel, ce programme n’est pas exempt de difficultés. Les technologies de vitrification et de chaudière à haut rendement exigent habituellement des investissements conséquents, tant en infrastructure qu’en R&D. Les délais pour obtenir les autorisations nécessaires peuvent par ailleurs s’avérer longs, en particulier dans le domaine des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE). Les autorités compétentes, soucieuses de prévenir tout risque, imposent des contrôles rigoureux et exigent des études d’impact détaillées.
Ensuite, le marché de l’énergie est volatile. Pour que l’électricité produite soit vendue à un tarif avantageux, il faudrait s’assurer d’un cadre réglementaire stable, et de mécanismes d’écrêtement ou de contrats d’achats sécurisés (PPA). La réussite économique dépend aussi de la disponibilité d’une masse critique de déchets industriels exploitables. Si les flux venaient à diminuer, les usines ne pourraient plus tourner à plein régime.
Des perspectives porteuses
Aujourd’hui, Europlasma et AptBlaze placent la barre haut : marier des intérêts économiques et écologiques, offrir une alternative aux pratiques polluantes et proposer un modèle réplicable dans d’autres régions du monde. Dans un contexte de pressions réglementaires croissantes, de tensions sur le marché énergétique et d’attentes sociétales fortes, la convergence de ces deux savoir-faire pourrait marquer un tournant décisif.
Un projet qui ouvre de nouvelles voies en matière de valorisation des déchets, où technologie et responsabilité s’unissent pour façonner une industrie plus respectueuse de l’environnement.