Caroline Baly, une ingénieure en biologie spécialiste des engrais bio et des plantes médicinales, décide d’allier les deux pour créer sa start-up Maïa-Ko et sort des produits 100% naturels pour le jardin.

Un projet 100% naturel

Depuis l’Eure-et-loir, la fondatrice de la start-up voulait proposer des alternatives naturelles, vertueuses, durables, efficaces, de bonnes compositions et facile d’utilisation pour chouchouter son jardin, ses plantes et son potager. En effet, Caroline Baly prône l’agriculture biologique, la fabrication en France, les circuits courts mais aussi la protection de la planète et de l’environnement. De plus, Maïa-Ko est conçue pour proposer ses solutions tant aux professionnels qu’aux amateurs du jardinage.

Pour parler de composition, la fondatrice de la start-up a fait beaucoup de recherches. Elle a trouvé la première solution à base d’extraits d’ortie, de bardane et de pissenlit avec la collaboration d’une centaine de jardiniers amateurs sur le territoire. Il faut savoir que ces plantes médicinales bio sont cultivées en France par des producteurs engagés. Ensuite, elles sont travaillées en laboratoire français spécialisé dans l’extraction végétale. Ce mélange a été réfléchi avec minutie pour aider la croissance, fortifier la résistance aux maladies et affronter les bioagresseurs de chaque végétal. Le produit peut être conservé sur une durée minimum de 18 mois. Caroline Baly explique alors « Par la suite, j’envisage de proposer rapidement d’autres mélanges de plantes, notamment pour lutter contre certains ravageurs (pucerons, chenilles) ou maladies (mildiou, tavelure par exemple) ».

Toutefois, Maïa-Ko ne s’arrête pas là. La start-up va jusqu’au bout de ses promesses dans la protection de la planète et de l’environnement. En effet, les extraits de plantes médicinales sont proposés dans des flacons spray éco-conçus d’1 litre chacun et 100% recyclables.  Également, Maïa-Ko livre ses produits dans des cartons et utilise de la fibre de chanvre bio française pour caler les produits dans chaque carton. Par la suite, elle peut être compostée ou être utilisée pour le paillage dans le jardin.

Une collecte pour le lancement de Maïa-Ko

La fondatrice de Maïa-Ko, Caroline Baly, souhaite rester indépendante dans toute la création de son projet : recherches, élaboration de formules, fournisseurs, partenaires, moyens de communication, etc. En revanche, elle présente une collecte. Elle appelle au soutien de chacun pour l’aider à réaliser son projet. Pour cela, elle vend des préventes de son premier produit à base d’ortie, de bardane et de pissenlit. En effet, cette collecte de fonds permettra alors de financer les coûts de fabrications de A à Z. Maïa-Ko instaure alors des niveaux de préventes. Les 50 premières serviront à créer et commander les étiquettes et à débuter la fabrication. Les 100 prochaines serviront à commander les flacons ainsi que les cartons de livraison. Au bout de 150 préventes, cela servira à commander le premier stock. Si le concept de la collecte fonctionne, elle permettra à Maïa-Ko de se développer et de créer de nouvelles formules. 

Cependant, les personnes qui auront acheté des préventes seront en tête de liste pour tout. En effet, elles seront les premières à recevoir le produit. Elles recevront également une carte postale à planter « Merci », un e-book « Mon jardin au naturel avec les plantes médicinales », des sachets de semences mellifères pour semer des fleurs pour les abeilles de la part de l’association Kokopelli ainsi qu’un code de réduction de 10% sur le site web de Maïa-Ko sur la prochaine commande. Ces personnes recevront alors tous ces produits à leur domicile et ce, à compter du mois d’avril 2021, mois du lancement officiel de Maïa-Ko !