Lancée en 2017 par Baptiste Fullen et Luca Chevalier, Eovolt a déjà vendu 25 000 vélos électriques pliants. La première Levée de fonds de cette start-up lui a permis de récolter 16 millions d’euros. Ce financement est assuré par les deux investisseurs Raise Impact et la Financière Arbevel, mais Baptiste Fullen et Luca Chevalier restent majoritaires.

Eovolt veut tripler sa production d’ici à 2025

L’activité d’Eovolt a commencé en 2017 en Chine, avant de déménager en 2020 à Genas, en région lyonnaise. Dans son usine d’assemblage, Eovolt conçoit et produit des vélos électriques pliants visant à allier sécurité et praticité pour les utilisateurs. 

Grâce à son récent tour de table qui lui a permis de recevoir un investissement de 16 millions d’euros, l’entreprise entend atteindre une production de 50 000 vélos par an à partir de 2025. Il s’agit donc de tripler sa production, puisque 18 000 vélos sont sortis des ateliers en 2022. L’entreprise compte aujourd’hui une trentaine d’employés et passera donc par un recrutement pour pouvoir assurer sa production.

Développer le rayonnement des vélos électriques pliants à l’international

Les vélos électriques pliants d’Eovolt se divisent en trois gammes, permettant de choisir un vélo selon la taille de l’utilisateur, l’autonomie souhaitée ou encore le poids du vélo. En 2022, 5 000 vélos Eovolt ont été vendus en France. 

Si Eovolt dispose d’un atelier à Lyon et propose ainsi des produits « made in France », la start-up a aussi du succès à l’étranger. « 50% de notre chiffre d’affaires, c’est l’export », affirme Baptiste Fullen. En augmentant la production, Baptiste Fullen et Luca Chevalier souhaitent également étendre et maintenir la présence de leur entreprise à l’international, voire devenir « leader mondial » dans le domaine des vélos électriques pliants.